AERO Roulette de queue

La longue tige qui sort en vertical n'est pas là pour rien. Elle est prévue pour être pliée à 90° vers l'arrière pour qu'elle soit prisonnière dans la dérive et rendre la roulette directrice. C'est un montage assez classique en fait mais rien n'oblige à le faire si on veut la rendre libre.
 
oui , c'est adapté au kit ,il suffit de couder à 90 degrés ,la corde à piano ,et la coller dans le volet de dérive .la charnière ,allant elle ,s'enficher dans la partie arrière du fuselage. c'est du très classique. il doit y avoir une fente dans l'arrière du fuselage.

sinon , oui je connais ce kit ( jaune avec la flamme bleue).

jl
 
Igloochien;2709281 à dit:
La longue tige qui sort en vertical n'est pas là pour rien. Elle est prévue pour être pliée à 90° vers l'arrière pour qu'elle soit prisonnière dans la dérive et rendre la roulette directrice. C'est un montage assez classique en fait mais rien n'oblige à le faire si on veut la rendre libre.


Bonsoir
Surement, si la dérive est plus "costaud" que celle du kit, (Comme celle de la photo) au premier atterrissage un peu violant, je pense que la dérive souffrira, puis...sur le montage en exemple n'est pas du tout le même système de roulette, donc je vais faire un montage moins risqué tout en le rendant directionnel par la dérive, comme le modèle de la photo ci-jointe

Roulette_Q.jpg
Monté sur un Extra 300 s de 160 d'envergure
 

Fichiers joints

  • Roulette_Q.jpg
    Roulette_Q.jpg
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Oui , ça marche très bien comme ça aussi. ce sera ,de toutes façons ,plus agréable à l'usage que fixe ou folle.

jl
 
Mécaniquement parlant les 2 systèmes sont identiques car dans les 2 cas, la partie qui supporte les efforts verticaux est fixée dans le fuselage, pas dans la dérive. La dérive ne voit et ne transmet que les efforts de rotation transverse, très faibles. Le premier est en fait plus costaud que le second.

En effet, dans le premier la pièce est normalement collée entre les 2 flancs du fuselage et fait travailler les 2 en flexion dans le sens de la plus large poutre (la hauteur du flanc) et les 2 joints de colle en cisaillement. Les surfaces sont telles que pour l'arracher ou rompre, il faut des efforts très importants et c'est rarement ça qui lâche

Dans le second, les efforts portent essentiellement sur la vis de devant en arrachement et par transmission sur la platine de fixation de cette vis en arrachement également. Les 2 offrent une résistance nettement plus faible essentiellement parce que les surfaces d'appui sont réduites, hormis renforcement particulier bien sûr, en général présent justement de ce fait. Il reste que j'ai déjà vu au moins une fois une vis arrachée sur un tel système.
 
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