Récemment, sur le forum, il a été indiqué que du fait de l’emport d’un dispositif de signalement électronique en 2,4 GHz, le récepteur présent dans l’aéromodèle allait se trouver en présence d’une énergie venant du dispositif de signalement électronique, environ 500 millions de fois plus importante que celle provenant de la télécommande dans les mains du télépilote.
Il était rappelé que l’énergie transmise décroît selon le carré de la distance. Ce qui est vrai pour la décroissance géométrique. Avec un télépilote à 50000 cm du récepteur et un dispositif de signalement électronique localisé à 5 cm du récepteur, le carré du rapport des distances, donc des énergies, est (50000/5 ) x (50000/5 ) = 100 000 000 = 100 millions.
Avec un tel ratio, il était mis en doute la capacité du récepteur présent dans l’aéromodèle à répondre correctement aux ordres venant de l’émetteur en 2,4 GHz dans les mains du télépilote.
Avec une forte probabilité, on peut affirmer que les radiocommandes que nous utilisons n’ont pas été prévues pour accepter un dispositif non synchronisé émettant en 2,4 GHz, localisé à quelques centimètres du récepteur. D’autre part, pour chaque marque de radiocommande, les algorithmes gérant les sauts de fréquence ainsi que le séquençage des échanges bilatéraux d’information entre la radio et le récepteur peuvent être significativement différents.
-----------------------------------------
Le problème étant soulevé, une évaluation de la criticité semblait nécessaire.
Le dispositif de signalement électronique a été simulé par un émetteur (B) de marque Graupner en 2,4 GHz.
Un récepteur Graupner (C) dûment appairé avec une seconde radio Graupner (C) en 2,4 GHz a été posé à 5 cm de l’antenne de l’émetteur (B) .
Le test de portée de l’émetteur (C) /récepteur (C) avec l’émetteur B à l’arrêt n’a pas posé de problème lors des différents essais. (Résultat habituel)
Le test de portée de l’émetteur (C) /récepteur (C) avec l’émetteur B en fonctionnement n’a jamais été satisfaisant lors des différents essais. (La perte de liaison a été constatée à une distance variant de 2 à 8 m environ.)
Comme on pouvait le pressentir, le résultat du test semble montrer qu’il n’était pas judicieux de développer un dispositif de signalement électronique non synchronisé avec le récepteur situé à proximité, et utilisant simultanément la bande de fréquence 2,4 GHz.
La validation d’un dispositif non natif semble extrêmement difficile du fait des multiples fournisseurs de radiocommandes et de récepteurs.
QUI VA PRENDRE LE RISQUE, MÊME SI LE TEST DE PORTÉE EST SATISFAISANT, D’UTILISER UN TEL DISPOSITIF QUI NE SERAIT PAS VALIDÉ PAR LE FOURNISSEUR DE SA RADIOCOMMANDE ?
PAS MOI.
ET VOUS ?
NOTA : Les médiats mais aussi les fédérations n'ont a priori à ce jour communiqué aucune information potentiellement crédible, sur le fonctionnement et la validation du dispositif de signalement électronique pour les différents équipements que nous utilisons.
Il était rappelé que l’énergie transmise décroît selon le carré de la distance. Ce qui est vrai pour la décroissance géométrique. Avec un télépilote à 50000 cm du récepteur et un dispositif de signalement électronique localisé à 5 cm du récepteur, le carré du rapport des distances, donc des énergies, est (50000/5 ) x (50000/5 ) = 100 000 000 = 100 millions.
Avec un tel ratio, il était mis en doute la capacité du récepteur présent dans l’aéromodèle à répondre correctement aux ordres venant de l’émetteur en 2,4 GHz dans les mains du télépilote.
Avec une forte probabilité, on peut affirmer que les radiocommandes que nous utilisons n’ont pas été prévues pour accepter un dispositif non synchronisé émettant en 2,4 GHz, localisé à quelques centimètres du récepteur. D’autre part, pour chaque marque de radiocommande, les algorithmes gérant les sauts de fréquence ainsi que le séquençage des échanges bilatéraux d’information entre la radio et le récepteur peuvent être significativement différents.
-----------------------------------------
Le problème étant soulevé, une évaluation de la criticité semblait nécessaire.
Le dispositif de signalement électronique a été simulé par un émetteur (B) de marque Graupner en 2,4 GHz.
Un récepteur Graupner (C) dûment appairé avec une seconde radio Graupner (C) en 2,4 GHz a été posé à 5 cm de l’antenne de l’émetteur (B) .
Le test de portée de l’émetteur (C) /récepteur (C) avec l’émetteur B à l’arrêt n’a pas posé de problème lors des différents essais. (Résultat habituel)
Le test de portée de l’émetteur (C) /récepteur (C) avec l’émetteur B en fonctionnement n’a jamais été satisfaisant lors des différents essais. (La perte de liaison a été constatée à une distance variant de 2 à 8 m environ.)
Comme on pouvait le pressentir, le résultat du test semble montrer qu’il n’était pas judicieux de développer un dispositif de signalement électronique non synchronisé avec le récepteur situé à proximité, et utilisant simultanément la bande de fréquence 2,4 GHz.
La validation d’un dispositif non natif semble extrêmement difficile du fait des multiples fournisseurs de radiocommandes et de récepteurs.
QUI VA PRENDRE LE RISQUE, MÊME SI LE TEST DE PORTÉE EST SATISFAISANT, D’UTILISER UN TEL DISPOSITIF QUI NE SERAIT PAS VALIDÉ PAR LE FOURNISSEUR DE SA RADIOCOMMANDE ?
PAS MOI.
ET VOUS ?
NOTA : Les médiats mais aussi les fédérations n'ont a priori à ce jour communiqué aucune information potentiellement crédible, sur le fonctionnement et la validation du dispositif de signalement électronique pour les différents équipements que nous utilisons.