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Un camarade s'en est allé !

La grande majorité des accidents est due pas seulement à une erreur mais à une accumulation d'erreurs, de jugement, d'appréciation

Malheureusement ça peut arriver à tout le monde n'importe où n'importe quand. Le risque 0 n'existe pas même si on tend à s'en rapprocher
 
loupxs;2701373 à dit:
La grande majorité des accidents est due pas seulement à une erreur mais à une accumulation d'erreurs, de jugement, d'appréciation

Malheureusement ça peut arriver à tout le monde n'importe où n'importe quand. Le risque 0 n'existe pas même si on tend à s'en rapprocher

pas de risque zéro c'est clair mais savoir évaluer et minimiser les risques fait intégralement parti du métier de pilote et c'est aussi ce qui fait la différence entre les bons et les mauvais, savoir rester au sol malgré le stress, l'agenda, la fatigue, les contraintes; vaut mieux regretter de pas avoir volé que de regretter d'être en vol
il s'est passé la même chose il y a plusieurs années au départ de romans avec un "4 places" et deux jeunes aiguilleurs du ciel à bord; météo annoncée catastrophique sur la vallée du rhone, tous les membres du club vol moteur présents qui insistent pour que ces "jeunes" différent leur départ, eux imbus de leur statut de contrôleur du ciel n'en font qu'à leur tête, ils ont décollé, un membre du club à déclaré : "ils sont morts", quelques heures plus tard cela à été confirmé leur avion est tombé en descendant la vallée du rhone .............

Un Robin DR 400, blanc et vert, immatriculé F-GJZK, décolle dans la matinée du
dimanche 2 novembre 2008 du terrain d'Aix les Milles (13) à destination du terrain de
Saint Paul les Romans (26), avec quatre personnes à bord.
Le pilote est un jeune contrôleur du Centre d'Aix en Provence accompagné de trois de
ses amis.
Vers 17h, 30, l'appareil décolle de Romans pour son retour dans les Bouches du
Rhône. Il n'arrive pas à Aix les Milles, le Plan SATER est déclenché
Au moment du décollage, le département était sous alerte Orange et il avait été
recommandé au pilote de ne pas décoller, car les conditions météorologiques étaient
exécrables sur le sud-est de la France. Dans la soirée, la zone de recherches
particulièrement importante, est délimitée grâce à la localisation des téléphones
portables des occupants de l'appareil. 4 hélicoptères, 140 gendarmes, 40 pompiers
sont mobilisés ainsi que des renforts militaires. Grâce à un hélicoptère, les gendarmes
retrouvent la carcasse de l'appareil, dans la matinée du mardi 4 novembre à 9 heures, à
1200 mètres d'altitude au col des Corbières entre les communes de Montréal les
Sources, Arpajon et Sahune dans le sud du département de la Drôme. On déplore
quatre victimes.
 
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