• Bonsoir, je me rends juste compte que les notifications des nouveaux messages étaient limitées aux membres actifs dans les 30 derniers jours. Donc, j'ai supprimé cette option. En espérant que vous aurez bien les notifications attendues. Merci pour votre patience. Yves

AERO Superbe reportage sur l'aviation électrique

Les voitures électriques ne s'arrêteront pas parce que deux ou trois brûlent, y compris les conducteurs ? J'ai vécu des expériences professionnelles concernant des véhicules qui prenaient feu , chez au moins deux constructeur français.
Dans les deux cas, il n'y a jamais eu de rappel ni d'alerte. Sur un cas, une erreur de conception de moteur de moto-ventilateur qui se bloquait, mettant le fil d'alimentation en court circuit. Et du 2 carré en direct sur la batterie, qui en plus passe derrière le tableau de bord, ça fout vite le feu dans la voiture. J'ai eu la commande pour des porte-fusibles spécifiques rajoutés en douce , en ligne, par les concessionnaires lors des passages en révision. Le client ne le savait pas. et donc si le moteur se bloquait, le fusible sautait. Donc simplement, plus de ventilo derrière le radiateur. Ça finissait donc par une surchauffe moteur et des joints de culasse qui pétaient. Mais bon, la garantie était finie…

Une autre erreur, sur les plans d'un faisceau habitacle que l'on nous demandais en 0,6 carré . C'est au bout de 2 ans que le constructeur s'est aperçu que ça aurait du être du 2 carré. Bof, … l'isolant était en classe 135°, alors on ne rappelle que les véhicules livrés dans les pays nordiques puisqu'il s'agissait du circuit de chauffage habitacle. En France, on chauffe moins alors si un gars est trop frileux, on verra bien.
Combien d'exemple de ce type pourrions nous citer.
A moins qu'une batterie ne s'enflamme dans un long tunel , on verra bien.

jacques
 
Acetronics2;2634218 à dit:
si la masse est double, certes, il faudra 2 fois plus d'énergie pour la lancer ... 2 fois plus dans les côtes , mais aussi on récupèrera 2 fois plus en phase de descente ou de ralentissement ...
Sauf que, sauf freinage appuyé, on gère généralement la décélération bien plus en douceur (sur l'inertie et la traînée) que l'accélération, ce qui ne permet pas de récupérer l'énergie injectée à l'accélération. Le seul moment où on récupérer vraiment de l'énergie, c'est en descente sur l'énergie potentielle accumulée en montée, mais cela n'a rien à voir avec ce dont je parle (tout simplement, lors de l'accélération depuis l'arrêt à la vitesse de roulage, la puissance à fournir pour vaincre l'inertie).

Acetronics2;2634218 à dit:
et la résistance à l'air identique ( et c'est toi qui nous dis le contraire, Franck ??? Rhôôôôô
mdr.gif
)
J'ai dit ça où ? Faut acheter des loupions, j'ai dit "lancer", pas "rouler"... ;)
 
Pour l'instant, il y a beaucoup plus d'incendie de véhicules thermique qu'électrique en proportion, cela à été calculé, car un ou deux embrasements de Tesla avait fait les gros titres, mais justement, un journal à fait des statistiques, et les cas d'embrasements de VT sont bien plus courant.

Ce serait intéressant de connaître l'auteur du calcul... L'embrasement spontané de véhicules thermiques est très faible, il est la plupart du temps la conséquence de collisions ayant provoqué des ruptures du circuit de carburant et un court circuit. Bien sûr si on fait intervenir dans le calcul les feux de joie de la saint Sylvestre et autres "joyeusetés" on peut faire dire à certains "experts" qui fleurissent sur les plateaux de télé que les véhicules thermiques sont plus inflammables. On verra le comportement des véhicules électrique lorsqu'ils seront pris en sandwich entre deux poids lourds à l'occasion d'un carambolage sur une autoroute ; pas sûr que leur inflammabilité soit inférieure à celle des véhicules thermiques.

au delà de ce simple commentaire je me demande pourquoi les partisans du tout électrique veulent à tout prix nous imposer le concept batterie rechargeable. Pourquoi font -ils l'impasse sur la pile à combustible qui est intéressante à bien des égards : pas de pollution, temps de recharge semblable à un plein classique, autonomie identique au moteur thermique, pas de dépendance énergétique vis à vis de l'étranger, utilisation intelligente de l'énergie électrique produite en heures de faible consommation pour produire l'hydrogène...
Bien sûr la technologie est plus coûteuse à mettre en œuvre, mais vu le prix actuel des véhicules électriques le consommateur en aurait beaucoup plus pour la même somme. Quant à la fiabilité, on peut dire que cinquante années de conquête spatiale ont été un bon banc d'essai, non ?
 
Le soucis de l'hydrogène, c'est que si sa production a peux se faire dans certaines conditions avec un bon rendement, il faut ensuite le comprimer très fort, ce qui fait que le rendement global décroît énormément. L'acheminement et la distribution de l'hydrogène sont aussi très énergivore pour ensuite passer dans une pile à combustible qui a une durée de vie limité, et un encombrement certain.
Le rendement actuel de la solution à hydrogène ne dépasse guerre les 40% sur les dernières études que j'ai pu lire contre 90% pour la solution à batterie.
Au vu des recherches qui sont menées actuellement sur les batteries qui intéressent pas seulement l'automobile, mais aussi l'industrie pour le stockage des énergies renouvelables, les smartphones, tous les appareils nomades, électroportatifs et autres, le volume et la rapidité de charge des batteries s'améliorent.
Le seul soucis des véhicules à batteries sont la vitesse de recharge, par rapport à l'hydrogène, mais avec la nouvelle génération de bornes de recharge à 350, voire 800 kw/h, ce soucis s'estompe, car la bataille de l'autonomie est gagnée pour l'électrique. Les véhicules a hydrogène actuels arrivent péniblement a faire 400 ou 500 km, alors que certaines électriques les dépassent déjà. L'électrique à aussi un avantage dans la possibilité de recharger à la maison, car j'ai bien regardé dans mon garage, je n'ai pas de prise à hydrogène, alors que j'ai une prise électrique ;-)
 
Haut