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Comment êtes vous arrivé aux jets

Buzz_eclair;2417182 à dit:
Mince avec tout ça on va plus pouvoir dire qu'on est l élite du modelisme :)

Si si tu peux le dire lol, j'adorerais etre en double commande juste deux minutes pour sentir l'avion, mais personne a ce genre de jouets autour de moi, c'est est con car là où je vole c est pas la place qui manque, rien sur 15 bornes à la ronde.
 
Buzz_eclair;2417182 à dit:
Mince avec tout ça on va plus pouvoir dire qu'on est l élite du modelisme :)
J'ai tomber sur ces co,s a ma première jet meet dans le var a le Luc,( pas tous, sur tout Paul Ratajczak très sympa ) "vous me connaisse pas Mr ?, je suis une 'pointure' dans la matière" :-x au bon ! mais votre robinet de carburant est que même fermé, :-D, ce car est que même plus ou moins fini avec le baisse de prix de ses engins, (sans compter sur les jets prêt a voler à 15.000€ :*) c'est pas plus cher que une gros maquette type Corsaire que en trouve sur toutes les terrains,, et pas plus difficile a voler,, ( moins de 10 kg ) Passionner par les Jets, avec une .61 dans le nez et les turbines Turbax a moteur a piston, ( années 1984 ) des que les première moteurs pas trop cher (Wren 54 en Kit et une Mirage 2000 faite 'maison') son arriver sur la marché je me suis lancer, en est pas l'Elite' mais pas mal de terrains ne sont pas adapter pour le vol de ses engins, donc en voire pas,,,


Petite 'ps', le précurseur des turbines habite dans notre coin Mr André Nougier de Speed Models.
 
De mon côté, j'étais présent à la ferte-Alais en 1992 pour la première présentation publique de michel serrier et de son proto de réacteur à gaz qui allait devenir le jpx T240 !
J'ai alors su que j'en aurai un jet, un jour... J'étais débutant avec à peine 3 ans de modélisme et des bouts de bois collés.

20 ans plus tard, après avoir touché à tous les domaines du modélisme, côté construction et côté pilotage, je mettais les gaz pour le premier vol de mon futura avec un beau stress... Et que ce fut bon !!!

Pourquoi 20 ans ? Budget, et aussi la volonté de ne pas brûler les étapes et de toutes les maîtriser individuellement avant de tout mettre dans le même avion.

C'est quand je me suis trouvé à l'aise avec un gros planeur de voltige genre Fox de 10kg que je me suis senti près... L'idée du jet est alors revenue naturellement, et ça correspondait au moment ou les réacteurs passaient au kérosène... Banco !
 
Bonsoir Passeurdaurores,

Comme beaucoup ce fut pour moi l'aboutissement d'une longue expérience du modélisme.
2 rêves inaccessibles début 80, le pilotage d'un hélicoptère et celui d'un jet à turbine thermique !
Ensuite premières rencontres Mach2.2 à Luxeuil les Bains, Eric Rantet avec ses JPX...le virus se propage...

Il faut absolument démystifier cette discipline accessible a tous pilotes expérimentés.
Je n'hésite jamais à faire essayer en double commande mes machines à des modélistes "du dimanche" comme moi.

Le frein principal reste souvent d'ordre financier, malgré la baisse de prix des équipements ça reste une discipline trop coûteuse pour la plupart des modélistes.

Il faut être soigneux, rigoureux dans la construction et la préparation des vols, la moindre erreur se paye cash et l'addition est souvent très lourde.
Il faut aussi apprendre à anticiper son pilotage, charge alaire importante, inertie, gouvernes non soufflées, vitesse d'éloignement, respect du facteur de charge...bref que du bonheur !

Attention c'est addictif et le retour en arrière est impossible...

Alain
 
raptormasque;2417368 à dit:
Il faut aussi apprendre à anticiper son pilotage, charge alaire importante, inertie, gouvernes non soufflées, vitesse d'éloignement, respect du facteur de charge...
. Je ne pratique pas le jet, mais j'admire en tant que spectateur, et mon beauf' s'y est mis il y a 13 ou 14 ans. Il s'est mis à faire les meetings dans un rayon de 3 ou 400km autour de Lyon avec son jet jaune bipoutre à stab en vé inversé qui a accumulé un sacré paquet d'heures de vol.
Je pense que si il est bon dans ce domaine, c'est sans doute parce qu'il a une longue expérience des planeurs de bonne taille, car c'est un pilotage qui demande à anticiper énormément. La finesse n'est pas la même, bien sûr, mais l'inertie, l'absence de commande de puissance, de soufflage à faible vitesse, préparent assez bien à gérer l'inertie du jet ( augmentée artificiellement par la poussée résiduelle) le temps de réponse des moteurs, ( même si ça a bien progressé) et la mollesse des gouvernes dans certains cas.
...enfin, je ne parle pas en connaissance de cause, j'élucubre et je suppose.

Fred
 
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