Nhalyn
Flying addict !
De mon expérience, quand on regarde ce genre de machine "finie" ou du moins ici certaines pièces en cours de finalisation, on se dit que c'est impossible, inabordable, complètement fou.
Pourtant, chaque bout pris individuellement, est très simple.
On prend l'exemple du jour : le verrou de la verrière du zlin : le guignol en plaque époxy, c'est rien ! C'est une plaque d'époxy coupée en triangle, finie par ponçage, avec 3 trous dedans. Le verrou ? Une chape du commerce coupée à la dremel, avec une vis dedans...
Alors oui, faut "juste" en avoir eu l'idée, et Daniel nous fait ça avec une grande dextérité, et un fabuleux soin de réalisation.
Je reste épaté quand je conçoit et construit, de voir un tas de planche sur la table, puis ça végète un moment ou les planches sont découpées en petits bouts appelés nervures, puis des longerons, des coffrages... Mais ça fait toujours un tas de bois informe. Et puis un jour on monte les nervures sur le longerons, puis des âmes, des coffrages... Et puis un jour on a une aile dans les mains. C'est beau... Finalement, le tas de bois informe d'il y a quelques jours, parfois semaines, totalement repoussant, est devenu un avion !
J'ai eu ce genre de sensation quand j'ai construit mon Caudron Typhon : d'abord une montagne de bois. Puis des couples de fuselage, de nacelles moteur... Tient, des bouts d'avion ! Puis on monte un demi fuselage, c'est long (plus ou moins), et un jour, à force de coller des petits bouts de bois, on se retrouve avec dans les mains la maquette d'un avion disparu de 1935... Fabuleux !
Je vous engage à faire cette expérience vous même : c'est assez génial !
Pourtant, chaque bout pris individuellement, est très simple.
On prend l'exemple du jour : le verrou de la verrière du zlin : le guignol en plaque époxy, c'est rien ! C'est une plaque d'époxy coupée en triangle, finie par ponçage, avec 3 trous dedans. Le verrou ? Une chape du commerce coupée à la dremel, avec une vis dedans...
Alors oui, faut "juste" en avoir eu l'idée, et Daniel nous fait ça avec une grande dextérité, et un fabuleux soin de réalisation.
Je reste épaté quand je conçoit et construit, de voir un tas de planche sur la table, puis ça végète un moment ou les planches sont découpées en petits bouts appelés nervures, puis des longerons, des coffrages... Mais ça fait toujours un tas de bois informe. Et puis un jour on monte les nervures sur le longerons, puis des âmes, des coffrages... Et puis un jour on a une aile dans les mains. C'est beau... Finalement, le tas de bois informe d'il y a quelques jours, parfois semaines, totalement repoussant, est devenu un avion !
J'ai eu ce genre de sensation quand j'ai construit mon Caudron Typhon : d'abord une montagne de bois. Puis des couples de fuselage, de nacelles moteur... Tient, des bouts d'avion ! Puis on monte un demi fuselage, c'est long (plus ou moins), et un jour, à force de coller des petits bouts de bois, on se retrouve avec dans les mains la maquette d'un avion disparu de 1935... Fabuleux !
Je vous engage à faire cette expérience vous même : c'est assez génial !