HS sans l'être: c'est la "philosophie" de départ qui me semblait, au moins, étonnante; je suis incapable detraumkumy;2557696 à dit:Ok donc dans la mesure ou j'ai aussi un vulcain, fabriqué en france , je ne devrait pas avoir appréhensions a voler haut et loin? C'est pourtant l'inverse, car tu as plus appréhension de planter un modele rare et *cher* qu'un modèle économique de grande diffusion, et qui survivra peut-être a un ratage (EPO), donc tu tente moins et tu reste dans ta zone de confort. Et c'est excatement ce qui se passe.
Quand au phoenix, certe il est venu de loin, mais depuis mes debut, il a certainement plus d'une centaine d'heures au compteur, ce qui n'est pas si mal pour une chinoiserie vouée a finir a la déchetterie.
FIN HS SVP.
Sinon, une autre raison a ma preference a voler dans un volume de vol restreint, vient aussi du fait que j'ai debuté dans le but de faire du vol de pente, donc mes séances de planeur en plaine n'ont durées que le temps d'apprendre a le diriger et a le poser convenablement avant d'aller a la pente: Jamais a chercher la pompe. Et qu'une fois a la pente, comme il est possible de garder le planeur tres proche de soit, je n'ai pas forcement développé l'aptitude de voler un peu loin, et me sent mal a l'aise dans cette situation.
me faire à l'idée d'un modèle sacrifiable.
Après, ayant commencé avec un avion thermique en plaine en rêvant aux légendes de l'aviation de la
deuxieme GM le planeur a suivi avec la seule conviction de la diversité. Les pentes étant rares et surtout
lointaines, un moteur sur pylone et la "lecture" du ciel alentours ont donné un tout autre intérêt à ce type
de vol. A l'époque l'Alpha volait beaucoup et l'expérience aidant je le faisais atterrir où je voulais à plat,
sur son train quelle que soit la "piste" choisie: la connaissance de son matériel estun des meilleurs garant
pour la sérénité des vols.
Bon, c'est pas le tout mais ya un mini Spit qui attend sur le chantier.