QUETZAL (ex Sacre Intégral)

modelvincent à dit:
Le quetzal est qd meme plus en rapport avec un planeur en forme d'oiseau je trouve...
Sacre c'est le nom d'un faucon. Je trouve que cela fait plus classe. On parle aussi du sacre; le couronnement.

quetzal; c'est moins prestigieux, moins facile à prononcer, (ça me fais penser à "que dalle")

Alors que le sacre; il le vaut bien (comme le dit la pub)
 
C'est vrai que le Sacre ou Saker est le nom du faucon utilisé pour la chasse en Orient.

Disons que Sacre Intégral c'est le nom du projet et Quetzal, c'est le nom du produit. Et continue a appeller ta bestiole "P'tit Sacre" c'est parfait.

Quand au vol, il est assez différent de celui d'une Alula, un autre nom d'oiseau du reste. L'Alula vole plus lentement et dans un espace beaucoup plus réduit. C'est du reste en voyant voler une Alula que l'envie m'a pris de faire un p'tite bestiole pour m'amuser à la pente.

L'an passé avec la première version, je m'amusais beaucoup à suivre la Zagi de Cool, le rayon de braquage est pratiquement le même. Par contre, le Sacre accélère plus vite qu'une Zagi et il était facile de la rattraper lorsqu'elle coupait un virage.
 
Ca marche je garde son nom, vu que c'est le prototype que je fais voler.
Un sacré ch'ti planeur que j'aime bien.
 
De bien beaux vols cet après-midi, avec en milieu d'après-midi, des pompes à mettre la bestiole sur la tranche. Dans ce cas, tu contres à fond en poussant un peu et tu attends que l'engin reprenne une attitude plus raisonnable.

La journée s'est terminée par une belle chaleur après 3 heures de vols. En pleine ascendance, j'ai perdu le contrôle des commandes suite à la décharge de l'accus. Après une séries de looping, tonneaux, looping inversés, piqués et montée en chandelle, la machine a enchainé 5 ou 6 looping avant de se poser en contre-bas.

Pas une égratignure, rien, j'aurais pû relancer si les accus n'étaient pas mort. Ne criez pas au loup, c'est de ma faute, j'aurais dû m'écouter lorsque j'avais crû sentir que les accus arrivaient en fin de charge.

Le Quetzal vieillit bien car après 3 week-end de vol, le fuselage n'a pratiquement aucune marque. Il y a quelques marques dûe au pincement des ailes au bord de fuite et c'est tout. C'est une endroit à renforcer avec un peu de contreplaquer comme le conseille Franck sur sont Crobe 2.

Sinon, les petites languettes qui tiennent l'ogive en place ont tendance à marquer à l'intérieur du fuselage et l'ogive prend du jeu. Un peu de mastic devra renformcer ces endroits.

Voilà, voilà pour aujourd'hui.
 
Quelques nouvelles du Quetzal.

Les vols se succèdent toujours avec autant de plaisir. La bestiole montre ses qualités mais aussi quelques défauts.

Le vol dos tient sans difficulté ni perte d'altitude ou perte de vitesse importante, il suffit juste de pousser un peu. C'est un point largement amélioré par rapport à la première version. C'est sans aucun doute l'effet positif de l'incidence intégrale qui évite la trainée de à la grande queue, chose qui ralentissait énormément le premier modèle.

La seule difficulté du vol dos, c'est qu'avec sa silouette, un Quetzal en vol dos ou en vol normal, c'est pareil.

Le tonneau est rapide ou lent, c'est comme on veut et il ne faut pas beaucoup de vitesse pour le passer. Pour le lopping, il faut juste tirer et c'est fait.

Du côté des défauts, j'ai l'impression que le stab décroche de temps en temps. Les symptômes ressemblent à une panne radio, mais ce n'est pas ça.

L'engin légèrement cabré ne répond plus pendant quelques secondes. Il a l'air de flotter dans l'air sur 10 ou 20 mètres sans vraiment perdre de l'altitude. Puis tout à coup, il se remet à plat et tu reprends le contrôle.

Si c'est ça, il faut que je reprenne le dessin de l'empennage car même si ce n'est pas trop gènant, ce serait mieux si cela ne se produisait pas.
 
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