Les multirotors sont instables par nature, piloter avec simplement les gyros, ou +accéléromètre, ou +baromètre, ou +GPS, il y a toujours une assistance électronique.
Au niveau des cartes, c'est assez bien fait, en cas de problème sur la réception GPS, ça bascule en mode stabilisation automatique, sauf qu'en général, on ne le sait pas hormis le fait que soudain, argh, le quadri part en glissade dans le vent !!! = crash pour le pilote presse bouton.
Aucun stage de formation ne pourra remplacer l'expérience d'un bon modéliste, au mieux, un type doué pourra y arriver en quelques mois de simulateur + un max de vols réels, mais le brevet drone sera juste un truc pour donner du boulot aux formateurs et faire chier tout le monde, pros en premier. Le bilan économique sera négatif, frein à l'activité, coûts élevés des prestations (peu nombreuses), coût collectif pour le travail administratif supplémentaire.
Ce que j'ai pu constater comme risques de pannes imparables :
- défaillance de l'alimentation générale, LiPo défectueuse, mauvais contact prise, soudure défaillante, court-circuit.
- défaillance de l'unité de contrôle suite à une problème de l'alimentation secondaire en 5V (Ubec ou Bec) ou défaillance des capteurs gyroscopique ou accéléromètres.
Pour les quadris et tricoptères, défaillance d'un des contrôleurs, moteurs ou problème mécanique hélice.
Ensuite, quelque soient les précautions, 6, 8 moteurs, parachute, redondance alimentation, un multirotor ça finit toujours par dégringoler et plus il y a de sécurités à bord, plus c'est lourd et ça fait mal !!!!
C'est pour ça que je trouve la démarche DGAC complètement décalée, les politiques feraient bien de s'inspirer des pays où ça marche bien plutôt que de vouloir tout compliquer. C'est un domaine qui évolue trop vite pour le réglementer à outrance. Pour être efficace, il faut de la simplicité ce qui n'empêche pas de mettre au point des règles, à condition qu'elles soient lisibles et de bon sens.
Je vais voir ce que l'on peut construire à partir d'une plaque en polystyrène extrudé, de façon à avoir d'entrée de jeu une machine dont la sécurité est assurée de façon passive par sa forme propre, très certainement un tricoptère qui permet le meilleur dégagement pour la vue, et le meilleur rendement électrique.
Au niveau des cartes, c'est assez bien fait, en cas de problème sur la réception GPS, ça bascule en mode stabilisation automatique, sauf qu'en général, on ne le sait pas hormis le fait que soudain, argh, le quadri part en glissade dans le vent !!! = crash pour le pilote presse bouton.
Aucun stage de formation ne pourra remplacer l'expérience d'un bon modéliste, au mieux, un type doué pourra y arriver en quelques mois de simulateur + un max de vols réels, mais le brevet drone sera juste un truc pour donner du boulot aux formateurs et faire chier tout le monde, pros en premier. Le bilan économique sera négatif, frein à l'activité, coûts élevés des prestations (peu nombreuses), coût collectif pour le travail administratif supplémentaire.
Ce que j'ai pu constater comme risques de pannes imparables :
- défaillance de l'alimentation générale, LiPo défectueuse, mauvais contact prise, soudure défaillante, court-circuit.
- défaillance de l'unité de contrôle suite à une problème de l'alimentation secondaire en 5V (Ubec ou Bec) ou défaillance des capteurs gyroscopique ou accéléromètres.
Pour les quadris et tricoptères, défaillance d'un des contrôleurs, moteurs ou problème mécanique hélice.
Ensuite, quelque soient les précautions, 6, 8 moteurs, parachute, redondance alimentation, un multirotor ça finit toujours par dégringoler et plus il y a de sécurités à bord, plus c'est lourd et ça fait mal !!!!
C'est pour ça que je trouve la démarche DGAC complètement décalée, les politiques feraient bien de s'inspirer des pays où ça marche bien plutôt que de vouloir tout compliquer. C'est un domaine qui évolue trop vite pour le réglementer à outrance. Pour être efficace, il faut de la simplicité ce qui n'empêche pas de mettre au point des règles, à condition qu'elles soient lisibles et de bon sens.
Je vais voir ce que l'on peut construire à partir d'une plaque en polystyrène extrudé, de façon à avoir d'entrée de jeu une machine dont la sécurité est assurée de façon passive par sa forme propre, très certainement un tricoptère qui permet le meilleur dégagement pour la vue, et le meilleur rendement électrique.