FPV Le FPV sur Bix3

Salut fxttt,
Sympa ce compte rendu.
Je pense que tu as vu juste en voulant isoler la propulsion de la vidéo.
On verra pour la suite :)
 
Le dimanche au terrain d'aviation est arrivé.....

Il fait beau et chaud, et un très léger vent souffle dans l'axe de la piste. Je prépare le Bix3 en appliquant les modifications décidées la veille : deux batteries solidarisées par un élastique et alimentant l'une le contrôleur et l'autre le circuit vidéo/OSD/GPS.
Certes le Bix3 est sensiblement plus lourd au'au jour de son déballage : il pèse quasiment 1,3 kg en ordre de vol.

Je roule sur le taxiway jusqu'à la piste, je souffle un coup, je pousse la manette des gaz progressivement jusqu'à la butée au fur et à mesure que le Bix3 prend de la vitesse. La roulette de queue décolle de la piste et je tire le manche....

Le Bix3 file droit et sa tendance à grimper a totalement disparu ! J'ai pourtant pris soin de retirer le trim plongeur de la veille, et la gouverne de profondeur est strictement dans l'axe du stabilisateur horizontal.... C'est une excellente première nouvelle !
Une fois encore, le fiston a les lunettes sur le nez et suit attentivement ce qu'il voit à l'écran. Au passage, je lui demande de me lire un certain nombre d'informations affichées par l'OSD afin de vérifier qu'elles sont cohérentes. Le verdict tombe enfin : aucun parasitage n'est à déplorer, et l'image est parfaitement stable. Par ailleurs, les données annoncées par l'OSD correspondent à une réalité tangible...

En mode motorisé, le Bix3 est stable et semble se piloter beaucoup mieux qu'hier. Je vais réaliser une approche et un fly by en suivant l'axe de la piste : la précision est au rendez-vous, et la lenteur est impressionnante en coupant les gaz.... mais le Bix3 allonge, mais allonge..... bref : il allonge ! Je sens que l'atterrissage va nécessiter plusieurs approches, car le Bix3 avale tranquillement les 100 mètres de piste y compris en coupant les gaz..... je pose pourtant mon Calmato thermique sur cette piste sans aucun problème, mais là, je commence à me demander comment je vais poser l'engin en une seule passe si par malheur je me retrouve à cours de batterie..... Avant d'aller plus avant dans l'expérimentation, je décide de me poser coûte que coûte pour valider un circuit d'approche viable, en réalisant mon dernier virage loin de la piste, et en appuyant la fin d'approche avec un filet de gaz.... je remarque que le Bix3, quoi que très stable, remonte facilement sous l'effet de ce que je crois pouvoir identifier comme des petites ascendances thermiques...J'arrondis gentiment jusqu'au contact du train principal avec l'asphalte, puis la roulette de queue se pose à son tour, et le Bix s'immobilise gracieusement aux deux tiers de la longueur de la piste..... ni plus ni moins que mon Calmato Sport dans les mauvais jours.... je respire un grand coup : mission accomplie ! Néanmoins, je ne me sens pas encore prêt à réaliser le pilotage de l'engin en immersion, car beaucoup d'inconnues restent à identifier.

Je décide de réaliser un vol supplémentaire, histoire d'aller tâter en altitude les capacités du Bix3 à planer, y compris avec son train principal, dont j'ai oublié de signaler qu'il est parfaitement et très rapidement amovible. Le fiston a de nouveau les lunettes sur le nez :
- "Whaou !!! T'es super haut, c'est joli tout ce qu'on voit autour !!!"....
- "Merci de faire baver d'envie ton pauvre père ! Quelle est l'altitude indiquée à l'écran ?"
- "90 mètres..... 95 mètres....... 100.........105.......110.......115.......120......."
- " Super, mais tu sais que j'ai coupé les gaz avant que tu m'annonces les 90 mètres, ce qui signifie qu'il monte tout seul sur les ascendances...."

Voilà encore une très bonne nouvelle !!! Il monte et il monte même très bien..... Si cette aptitude se confirme, je vais pouvoir voler à l'économie et accéder à des durées de vol absolument fantastiques....

Rapidement, les autres enfants du club veulent voir ce qu'il se passe dans les lunettes, et la journée sera un défilé de gamins ( dont certains âgés de plus de 40 ans ) s'extasiant de la qualité de la vidéo, de la beauté du paysage, etc..... tandis que la bave aux lèvres, mais stoïque, je continuerai à explorer à vue le domaine de vol de l'engin, jusqu'à ce que ma radio se mette à vibrer dans un beep sonore permanent pour m'annoncer le passage définitif de la batterie de propulsion sous la barre des 10,8V..... pris dans l'émotion de la découverte, je n'ai pas pensé un seul instant à chronométrer l'autonomie.

Au terme de cette journée, je serai le seul de tous les membres présents sur le terrain à ne pas avoir pu mesurer le résultat de mon travail : à aucun moment, je n'ai vu la Terre depuis le Bix3, ni même pu admirer le défilement des données de l'OSD, mais apparemment, il fonctionne bien..... à en juger par les réactions de tous ceux qui ont pu s'immerger à ma place....
Toutefois, au regard de la capacité à allonger du Bix3 et sa capacité à avaler la piste y compris avec un léger vent de face, il serait sans doute utile que je l'upgrade rapidement en activant les volets d'approche...
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C'est décidé : la prochaine fois, je m'essaie à l'immersion sur le Bix3 ! :congratulatory:
 

Fichiers joints

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Salut FXTTT

je n'y croyais plus !!!

Enfin un "New immersionniste" qui prend soin de faire plusieurs vols à vue (qui plus est sur un terrain dégagé) avant de chausser les lunettes, qui se renseigne sur le matos avant de poser des questions et qui ne cherche pas tout de suite à faire des records de distances ou d'altitude!! :) :)

Ca me rappel mes débuts en 2009 et mes premier vols en immersion avion à la différence que mes enfants étaient trop jeunes pour me renseigner "efficacement " sur ce qu'ils voyaient dans les lunettes, j'avais donc enregistré le retour vidéo dans un camescope DV et repassé le film chez moi.

Ca a l'avantage de voir le terrain d'en haut vu par la cam FPV et ça facilite le repérage une fois en FPV.

Un truc important: la notion la plus dûre a appréhender lors des 2/3 premiers vols FVP c'est la vitesse et tu peux être tenté de trop la réduire si tu panique en vol avec au bout un beau décrochage.

Tu a chargé ton BIX3 à 1.3Kg, c'est pas énorme mais mon EPIMM de début pesait 900gr!!

Il faut donc que tu teste le décrochage en vol à vue afin de voir s'il se récupère facilement, ensuite tu le testera en FPV une fois à 90m d'altitude.

Tu as mis le son dans l'avion?

On en parle rarement mais personnellement je ne supporte pas le FPV sans le son, j'ai l'impression de piloter dans du coton, le son embarqué m'a permis a 2 reprises de poser en urgence car j'entendais une vibration qui aurais pu entrainer un crash (un moteur desserré et l'autre une fixation d'aile deffectueuse et l'aile vibrait ...)

A+
 
Bonjour et merci pour les encouragements !

Effectivement, j'ai commencé la mise en expérimentation du vol en immersion depuis le mois de Mai de cette année : tout d'abord sur un petit Aéro de T2M qui j'utilise régulièrement pour effectuer des tests, compte tenu de sa capacité à encaisser les chocs modérés sans dégât. Néanmoins, mon expérience avec le Bix3 a débuté en Août. Ce sujet va relater les différentes étapes que j'ai dû traverser pour que la mise en oeuvre de cette expérience soit la plus positive possible, et sans jamais oublier ce que doivent être les considérations en matière de sécurité, et qui doivent systématiquement accompagner cette activité. J'espère que ce sujet sera à la hauteur des objectifs, et afin que tous les pilotes de drones ne soient pas jetés en pâture aux a priori. Beaucoup d'entre nous ont des principes qu'il convient de partager et de transmettre pour ne pas nourrir l'inconscience et l'irresponsabilité des quelques individus qui ont déjà jeté les bases d'une polémique qui menace aujourd'hui l'ensemble de l'aéromodélisme français. Il est important de rappeler que cette activité est également pratiquée par des gens consciencieux.

Oui, j'ai réalisé un faisceau embarqué Vidéo ET Audio Stéréo : pour l'heure, j'ai préféré ne pas trop m'isoler du monde extérieur en portant des écouteurs, ce qui me permet par ailleurs d'évaluer la position de l'appareil, puisque je l'entend au loin lorsque le moteur tourne. J'ai poussé l'engin aux limites inférieures de sa portance, et exploré son domaine de vol à vue, mais je n'ai pas tenté de voltige compte tenu de son poids : l'idée est plutôt de voler paisiblement à la façon d'un oiseau ( mais j'y reviendrai plus tard ). Le Bix3 est une première expérience pour réaliser l'étalonnage des sens, car voir le monde depuis le ciel exige d'abord de s'y accommoder et d'y trouver des repères et des méthodes, de se familiariser à l'instrumentation de bord afin d'en tirer des leçons et des directives. L'objectif n'est donc pas d'établir un quelconque record si ce n'est celui du plus grand nombre possible de vols sans accident, et de définir les stratégies qui vont permettre d'établir ce record.

A bientôt.
 
C'est un joli lundi chaud et férié d'Août que je me décide à tenter le vol en immersion sur le Bix3.

Pour l'occasion, j'ai ôté le train d'atterrissage principal, mais pas la roulette de queue, qui elle, est inamovible dans la version ARF, dès que l'on a collé définitivement le stabilisateur horizontal, ce qui aura plus tard des conséquences regrettables imposant des dispositions particulières....
Bref, le Bix3 est en version "planeur" pour cette première immersion.

J'effectue toutes les vérifications d'usage avant de me déplacer jusqu'à ma zone d'envol, sur ma bande d'absorption. Tout est OK : sens des gouvernes, canal vidéo, niveau des batteries. Je repère le sens du vent, je respire un grand coup. J'attends que l'OSD/GPS ait effectué son fix pour enregistrer la position du point d'envol afin que la flèche "Return to Home" soit absolument fiable, et j'alimente enfin le contrôleur. Je chausse les lunettes, je dirige la caméra à contre-sens du vent et je projette le Bix3 à plat. Immédiatement, je tire la profondeur pour me réfugier en altitude....

L'OSD : Dès les premières secondes du vol, et sachant que j'étais déjà rodé à la phase du décollage avec l'Aéro, mon attention s'oriente rapidement sur les données affichées par l'OSD. Le Remzibi semble fonctionner, et les données qu'il affiche sont cohérentes : pour 25€ sur Ebay, il me fournit l'essentiel : vitesse propre ( sans blague ? mais je verrai plus tard que la question de la vitesse relative va bientôt se poser ), les coordonnées GPS ( inutiles en l'état mais il serait heureux de les exploiter à l'aide d'une boite noire en cas de problème ), la vitesse verticale, la distance au point de décollage, la direction pour retourner au point de décollage, le temps de vol, le heading, l'altitude ( ça peut servir ! ), le nombre de satellites détectés ( j'ai défini que le fix était fiable à 8 d'entre eux : c'est la condition du "Home Saved" ), la tension de la batterie d'alimentation, mais pas la tension de propulsion, puisque je la surveille depuis la télémétrie radio. Sur l'OSD un seuil inférieur de 10,8V a été défini pour déclencher le clignotement de cette valeur à l'écran ( batterie 3S ). Cette valeur limite est également celle que j'ai définie comme seuil inférieur, et l'expérience démontre qu'elle correspond à 15% restants d'autonomie.

Je continue à monter et je décide de stabiliser mon vol à environ 100 mètres d'altitude : je réduis progressivement les gaz avant de stabiliser l'assiette, puis je coupe les gaz..... Le moment est venu d'affiner les réglages en m'aidant de l'horizon ( le vrai, car je n'ai pas d'horizon artificiel, du moins, pas pour 25€...)... Je laisse le Bix3 faire ce qu'il veut : je n'agit que sur les ailerons pour garder l'assiette, mais je surveille sa façon de dégrader l'énergie potentielle : je cherche ce point d'équilibre entre une trajectoire qui ne monte pas jusqu'au décrochage et une trajectoire trop piqueuse, faisant prendre trop de vitesse, jusqu'à ce que ça grimpe jusqu'au décrochage. Il doit descendre le plus légèrement possible mais ne surtout pas grimper : Quelques ajustements de trime permettront à ce comportement de s'installer, du moins, dans les conditions aérologiques et thermodynamiques d'aujourd'hui : ce réglage changera dès que les conditions de pression et de température auront changé.

Alors effectivement, et comme le souligne Flydepron71, ces réglages sont indispensables pour garder le meilleur contrôle possible de l'appareil : outre la position de l'horizon, d'autres paramètres sont à surveiller pour avoir une idée la plus objective possible de la réalité du vol : l'altitude, la vitesse verticale ( afin de détecter un éventuel décrochage à plat alors que la profondeur est tirée ). Contrairement aux multirotors, la vitesse relative doit être conservée coûte que coûte : quitte à se prémunir contre un décrochage inopportun, autant le faire en instruisant un neutre aérodynamique lqui doit plus que jamais être légèrement piqueur, du moins suffisamment pour entretenir naturellement la vitesse de l'appareil. L'acquisition et l'affinement de ce réglage sont prioritaires, car ils posent les bases d'un vol sécurisé.

Je suis toujours aux alentours des 100 mètres d'altitude, moteur coupé, et je viens de terminer le réglage de trime profondeur. Le Bix3 ne perd quasiment pas d'altitude, et je me dirige gentiment au-dessus d'un champs tout juste labouré.... je vais vérifier que l'effet albédo existe, puis plus tard, et si j'ai le temps, je m'occuperai de déterminer si un complot reptilien nous cache que la Terre est plate..... Autour de moi virevoltent des hirondelles dont certaines passent à seulement quelques petits mètres du Bix3, l'accompagnant comme des dauphins le feraient d'un bateau. Au-dessus de ce champ fraichement labouré, l'horizon ne bouge pas, mais la vitesse verticale commence à s'affoler : +1, +2 m/s positifs, et je décide alors d'enrouler l'ascendance à tous petits coups d'ailerons. Je me retrouve rapidement à près de 160 mètres, puis 200, et enfin 240 mètres d'altitude. La vidéo est claire, mais cette altitude ne me rassure pas : je plonge en douceur pour retourner vers les 150 mètres, mais inexorablement, le Bix3 remonte au-delà des 200 mètres sans avoir à donner le moindre tour d'hélice.... C'est juste fabuleux.... jusqu'au moment où....

.... je n'ai plus le contrôle de l'appareil mais la vidéo fonctionne parfaitement ! il s'engage en descente spiralée à gauche, et je vois le sol s'approcher inexorablement, et vu de 200 mètres d'altitude, l'immersion avec des lunettes est proche d'un état de décorporation : l'esprit est totalement absorbé par la vision embarquée.... pendant quelques secondes, cette spirale continue tandis que les commandes que j'envoie ne semblent que faiblement efficaces...... puis le contrôle revient comme si de rien n'était.... je reprends la trajectoire en douceur...
Le chronomètre du Remzibi m'annonce 25 minutes de vol. Conscient que ce qui vient de se passer est absolument anormal, et redoutant un nouvel événement de ce type, je décide de revenir sur le plancher des vaches afin d'en déterminer l'origine, du moins, si j'arrive à ramener l'appareil intact....

Le retour jusqu'à la phase d'approche finale demandera 3 minutes supplémentaires, durant lesquelles je sens mes doigts trembler : pourvu que tout se passe bien... Je suis encore trop haut, et j’entame un dernier cercle pour perdre encore un peu d'altitude.... j'aligne l'axe de ma piste improvisée entre un champ et une vallée, j'attend l'approche du contact, j'arrondis et le Bix3 termine son vol dans une magnifique glissade parfaitement droite...... OUF !

C'est maintenant l'heure des analyses : que s'est-il passé là-haut et qui m'a collé une terreur effroyable ? A cette distance, à peine 250 mètres de moi, la perte d'un signal radio avec un récepteur Full Range est plutôt inhabituel. Si j'avais dû être confronté à ce même phénomène, qui a duré quand même plusieurs secondes, il y a longtemps que j'aurais crashé le Radjet ou le Stinger 64 MK2. Première disposition : extraire le récepteur du merdier de câblage qui inonde la soute pour le libérer de l'entrave éventuelle d'un champ magnétique qui générerait l'équivalent d'une cage de Faraday.... Mais même ce scénario ne me convainc pas... j'ai la certitude que quelque chose d'autre s'est produit...

J'envisage une autre piste qui admet que je ne suis pas le seul dans ce bel azur, et je décide d'inspecter l'aile gauche.... et bingo !
A mi-longueur de l'aile, à l'endroit où le bord d'attaque forme un léger angle partant vers le saumon, je trouve l'indice que je recherchais : 2 poinçons bien dessinés sur cette aile toute neuve ! C'est la marque caractéristique d'un prédateur intelligent... Une seule conclusion s'impose : je viens de me faire écharper par un rapace ! Il a simplement cherché à me précipiter au sol, en m'attaquant par ce qui était pour lui l'articulation d'une aile..... il m'était déjà arrivé de me faire attaquer par ces prédateurs territoriaux, mais alors que je pilotais à vue, ce qui m'avait laissé le temps de les narguer par un looping qui avait pour effet de les décontenancer et de les faire partir..... mais vu de l'intérieur, avec une caméra fixé vers l'avant, je ne pouvais pas voir arriver l'attaque qui fondait sur moi..... Pour sûr, le prédateur a dû être aussi surpris que sa proie ! ;-) ...Par acquis de conscience, je déplacerai quand même le récepteur dans le conduit qui relie la soute au cockpit..... je m'y attellerai le soir même.....

C'est également l'heure du bilan énergétique : il me reste 80% de la batterie alimentant le circuit vidéo ( 1600 3S ), et 70% de celle de propulsion ( 2200 3S ).... et ça, c'est une très très bonne nouvelle, même si les conditions météorologiques trônant sur la plaine étaient particulièrement propices à un tel bilan.

Les vols vont se succéder durant les jours qui suivront, et rien ne viendra plus émailler ma tranquillité, même si parfois le cri d'une buse me fera un tantinet frémir.... C'est un autre problème que je vais rencontrer : celui de la roulette de queue, qui est inamovible alors que le train principal l'est, lui ! Cette roulette est articulée en vertu d'une tringle solidarisée à celle de la dérive, à l'aide d'un domino : lors des atterrissages sans le train principal, la roulette transmet alors de coups de bélier qui se propagent jusqu'à la servo de dérive.... Les engrenages servo en nylon sont cassés, et je n'ai plus qu'à la remplacer totalement, mais à partir de ce jour, je déconnecterai la tringle de roulette du palonnier de la roulette !! Ainsi, plus de problème ! C'est simple, mais c'est efficace ! C'est en tout cas beaucoup plus sûr que de risquer d'avoir un dérive bloquée à droite ou à gauche en plein vol, même si ce n'est pas une situation totalement désespérée.....

La prochaine étape sera celle de l'immersion totale : décollage puis atterrissage depuis et sur une piste en dur. Pour assurer ce nouveau défi, je vais au préalable devoir activer les volets d'approche et effectuer quelques nouveaux réglages.....
 
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