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FPV Le FPV sur Bix3

Une semaine après ce premier vol en immersion arrive un joli weekend.... Un samedi et un dimanche au terrain me permettront de prendre progressivement mes marques avant de pouvoir réaliser une immersion totale.

Je profite du remplacement de la servo de dérive pour activer les volets..... Les emplacements des servos sont déjà prédécoupés et j'ai juste à retirer le morceau d'EPP sans aucun outil. L'emplacement est propre et je n'ai plus qu'à coller les deux servos qui vont bien, d'attendre le séchage et d'ajuster la position des volets aux positions ouverte et fermée. Le résultat me semble correct, et il n'y a plus qu'à.
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Sans me poser plus de question, je décide d'associer tout d'abord la sortie des volets au potentiomètre VR de la T10J...
Je sais d'ores et déjà que la sortie des volets aura des conséquences potentiellement dangereuses sur le vol, et notamment parce qu'il devra s'effectuer en immersion. Je m'attends, et c'est logique, à ce qu'avec l'augmentation de la courbure de l'aile, la portance augmente, et que la vitesse de décrochage diminue, certes... mais sans compter sur le deuxième effet : l'augmentation de la tendance du Bix3 à cabrer, phénomène qui va forcément perturber la phase d'approche immergée. Je dois donc pousser la trime de profondeur jusqu'au moment où le Bix3 se trouvera engagé dans une pente légère mais dont il ne peut pas sortir dès lors que le moteur est coupé. L’intérêt est de pouvoir ensuite mesurer combien on a dû placer de trime au piqueur pour l'appareil descende tout seul sans piquer ni décrocher, la pente entretenant la vitesse minimale nécessaire pour que le décrochage ne surviennent jamais. A partir du moment où l'angle de piqueur nécessaire à la profondeur est évalué, on asservit la voie de profondeur à la voie des volets : dès qu'on sort les volets, la profondeur s'abaisse automatiquement pour compenser le cabreur. Une fois acquise la certitude que l'appareil n'aura pas tendance à décrocher en pente d'approche, cela permettra de se concentrer sur l'axe d'approche et l'arrondi.

J'effectue à vue les premiers réglages de profondeur aux trimes. J'effectue ainsi plusieurs approches en cherchant le juste équilibre entre pente et vitesse. J'applique les réglages obtenus en les intégrant à l'asservissement. Petit à petit, j'affine l'asservissement et j'obtiens un résultat qui me plait bien : en lâchant totalement la gouverne de profondeur, le Bix3 suit une joli pente qui entretient naturellement sa portance sans prendre trop de vitesse. L'objectif est que la portance s'effondre au moment du premier contact au sol afin d'éviter tout rebond sur la piste, et dont les conséquences pourraient notamment être un décrochage asymétrique destructeur..... d'où l’intérêt de réellement casser la vitesse mais juste ce qu'il faut.... Au passage, le réglage obtenu permet la sortie des volets plein gaz sans modifier l'assiette de l'appareil lorsqu'il vole à plat : la sortie des volets est totalement transparente : elle augmente la portance sans aucun autre effet secondaire, dont le l'effet grimpeur.

C'est décidé, je me lance : c'est la toute première fois que je vais tenter un atterrissage sur une piste en dur, dans le monde réel, en contrôlant l'action depuis l'avion, et ailleurs que sur un simulateur de vol.... j'ai comme une sueur, mais je sais que l'exercice est réalisable...

Je place le Bix au milieu de la piste, je vérifie une dernière fois le sens du vent et je pousse les gaz jusqu'à la butée. La piste défile, l'image remue un peu, puis se stabilise tandis que je tire sur la profondeur. Je monte jusqu'à une trentaine de mètres. Conscient qu'il va falloir que je m'exerce à réaliser des approches ( il ne manquerait plus que je sois obligé de retirer les lunettes pour ça !!! ), j’entame immédiatement un circuit d'approche. Je sors les volets : la ligne d'horizon ne bouge pas. En sortant du dernier virage pour faire face à l'axe de la piste, je coupe les gaz et le Bix3 entre dans sa pente.... Je suis émerveillé de voir la piste sous cet angle ....je n'ai pas le réflexe de noter mon altitude.... la pente est bonne, mais je suis parti de trop haut : j'efface la piste, je remets les gaz et je rentre les volets. Nouveau circuit d'approche.

Je retente le coup : 150 mètres de la piste, je me place à 20 mètres d'altitude. L'approche est pas mal, mais je suis obligé de remettre un peu de gaz pour allonger jusqu'au seuil de piste. Je tente : je vois la piste s'approcher de plus en plus, je commence à arrondir, mais il me semble que la profondeur manque de précision... trop grossière et violente.... et effectivement : le Bix3 commence à jouer aux montagnes russes et même si je tente de jouer en finesse, un décrochage asymétrique survient lors d'un rebond au toucher de piste...... fin du vol !
Le nez du Bix3 et la pointe de l'aile gauche ont touché la piste, mais hormis quelques infimes "rayures", il n'y a aucun dégât.

Cette fin d'approche est toutefois révélatrice : un atterrissage sur une piste en dur exige beaucoup plus de précision que dans du gazon. L'arrondi et le toucher de piste doit être doux et précis, mais je n'avais pas cette précision sur cette dernière phase, et pour cause ! Ma course de profondeur est linéaire ! Pour éviter cet effet de montagnes russes en fin d'approche, je décide de casser la violence de la gouverne à l'approche du neutre avec 75% d'exponentiel.

Nouvelle tentative : cette fois-ci ( pour le fun ), je fais partir le Bix3 en immersion depuis la zone de démarrage, en suivant le taxiway jusqu'à la piste, sans oublier de signaler à mes collègues que je prends de nouveau la piste. Je me place sur l'axe de la piste, je pousse les gaz et je décolle de nouveau, mais cette fois-ci, je vais m'attarder une vingtaine de minutes en altitude, histoire d'admirer le paysage, jusqu'à ce que l'alarme télémétrique de tension batterie ne fasse vibrer et retentir ma T10J, tout d'abord lors des poussées de gaz, puis définitivement. Je redescend progressivement et j'annonce que je ne vais pas tarder à m'engager en phase d'approche pour un atterrissage. Cette fois-ci, je décide de partir d'une altitude d'une trentaine de mètres, quitte à pousser la profondeur pour aider la descente. Je suis dans l'axe de la piste, la pente est bonne, et je commence à voir le goudron défiler..... j'arrondis en douceur sans aucune montagne russe.... l'image vibre un peu, signe que le train principal est au contact, et le Bix3 ralentit avant de s'immobiliser totalement..... FIOU !!!!! Exercice réussi ! J'entends qu'on applaudit ;-)
Je fais demi-tour sur la piste pour la remonter, puis je remonte le taxiway jusqu'au stationnement, je coupe le moteur et je retire les lunettes.....
-MISSION ACCOMPLIE- J'ai des étoiles et des images plein les yeux !

Néanmoins, lors de prochains atterrissages par vent traversier, et la tendance naturelle de l'appareil à se mettre face au vent, je me verrai confronté à un nouveau problème : la piste sort du champ de vision de la caméra fixe placée dans le nez du Bix3 ! Il faut bien avouer que ça ne joue pas en faveur de la sécurisation de l'atterrissage.... Au passage, je remarque que pour tenter de compenser la sortie de la piste de mon champ de vision, je tourne intuitivement et spontanément la tête dans sa direction, mais bien entendu, sans aucun succès......

Le temps est venu d'installer un pan tilt.....

A bientôt.
 

Fichiers joints

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Sympa le récit, félicitations pour ces premiers atterros sur piste.

C'est toujours une grande satisfaction, un atterro réussi !!!
Ce qui me pose problème, parfois, c'est plutôt les embardées au décollage. Surtout avec un biroue. Comme on n'est pas dedans et qu'on ne peut pas toujours voir de quel angle on a embardé, il m'arrive de frôler la sortie de piste de peu. Sur mon terrain actuel en herbe, pas de marquage au sol, difficile parfois de discerner le bord de la piste. Mes avions ont beau être assez grands voir hauts, Il faut prendre des repères au loin. Des arbres, par exemple.. Cela dit, sur un terrain en dur ou je volais il y a quelques années, quand ça se barrait en sucette je voyais la bande centrale de la piste passer devant moi sur mon écran tellement vite que le mieux était dans ce cas de couper et recommencer. J'ai tendance pour cela à préférer les atterros aux décollages.

Concernant les volets, attention à la traînée supplémentaire. Parfois, avec des avions légers, l'inertie n'est pas suffisante pour arrondir. Perso je remets souvent un peu de gaz à cet instant. Ne pas trop s'attendre à diminuer de beaucoup la vitesse sur trajectoire, c'est plutôt qu'on peut prendre une pente plus forte. C'est au moment de l'arrondi, qu'on sent que les volets permettent de diminuer la vitesse.

Fred
 
Bonjour Fred,

Effectivement, en pilotage à vue, le décollage est une formalité que l'on sait immédiatement interrompre lorsqu'elle prend une mauvaise tournure, et grâce à une vue d'ensemble qui permet d'anticiper la trajectoire. A ce titre, les repères visuels ne sont plus aussi évidents lorsque l'on passe au mode immersif. J'ai rapidement opté pour un décollage rapide et franc plutôt que pour une accélération trop progressive, histoire que cette "formalité" dure le moins longtemps possible. Enfin, je me suis dit que quitte à avoir des volets capables d'augmenter la portance à basse vitesse, autant les utiliser pour raccourcir la phase de décollage, surtout en cas de vent traversier.

Pour revenir à la question des volets, l'instauration automatique d'une pente avec la sortie des volets et le moteur coupé est essentiellement motivée par la volonté de ne pas avoir à surveiller ce paramètre en approche : l'objectif étant qu'avec ce plongeur automatique, l'essentiel de l'attention soit porté sur la trajectoire et l'arrondi plutôt que sur la vitesse. Par ailleurs, la seule vitesse indiquée à l'OSD est une vitesse propre, et non une vitesse relative, et il est absolument hors de question d'utiliser une donnée non fiable pour appuyer une phase aussi délicate que l'approche. L'important est que l'arrondi soit le plus précis possible pour ne pas avoir à remonter brutalement vers ce qui pourrait effectivement aboutir au décrochage. Si l'arrondi s'annonce mal, il ne faut clairement pas hésiter à remettre les gaz pour se remettre en circuit d'approche.

Le maintien des gaz : je suis tout à fait d'accord !
Si l'approche et l'atterrissage peuvent facilement s'effectuer moteur coupé en cas d'absence de vent, il est vrai que le maintien d'un filet de gaz est également une excellente stratégie lorsque les conditions sont plus remuantes : non seulement ce filet permet de maintenir une vitesse confortant la portance, d'augmenter l'efficacité des gouvernes, de remonter le vent, mais il offre un autre avantage non négligeable : la force gyroscopique appliquée par la rotation de l'hélice va durcir la position de l'avion sur son axe longitudinale, de la même manière que la vitesse durcit la direction sur la roue avant d'une moto, ou encore cette même force qui s'oppose au retournement d'un disque dur en rotation. Ce gain de stabilité permettra à l'avion de beaucoup mieux se défendre dans les remous et l'aidera à mieux conserver son cap jusqu'au contact final, puisque cette rotation va naturellement s'opposer à toute variation de cap, mais pas aux translations latérales induites par un vent traversier.

Pour l'heure, j'envisage d'utiliser un dispositif de haute technologie pour surveiller la survenue d'un décrochage, ainsi que pour surveiller les vents latéraux : un bout de laine rouge de quelques petits centimètres fixé sur une mire noire sur le dessus du nez, juste devant la caméra, permettra de déceler les principaux mouvements d'air et d'anticiper la dérive. Cette technique est déjà employée en vol à voile grandeur. Par ailleurs, cette mire noire me permettra de recentrer la caméra sur son pan tilt, et de conserver ainsi un point de repère visuel indispensable.

A bientôt.
 
Voilà pour l'instant l'essentiel de mes premières immersions, et qui est, à bord du Bix3.... Mais je ne me suis pas lancé dans cette aventure sans mesurer les tenants et aboutissants, les problématiques, et le tout dans un contexte législatif pourtant guère engageant.

- La radio : Une Futaba T10J et son récepteur R3008SB doté d'une connexion "surveillance de tension externe", en T-FHSS permettant des télémétries et des alarmes sur divers paramètres, moyennant les options qui vont bien. Coût neuf : environ 300€. A ce jour, la totalité des voies est occupée. Il faut également noter que la prise 8 est par défaut un connecteur S-BUS, et qu'il faut se référer à la page 24 du manuel de la radio pour passer le récepteur du mode B ( 7 voies + S-BUS ) au mode A qui active la 8ème voie pour une connexion classique.
La radio et le récepteur sont occupés en vertu des dispositifs suivants :
- 1 voie moteur
- 1 voie dérive + 1 servo
- 1 voie profondeur + 1 servo
- 1 voie ailerons + 2 servos
- 1 voie volets + 2 servos
- 2 voies pan tilt + 2 servos
- 1 voies feux + un contrôleur de LEDs ( Multiplex Multilight 5 LEDs )

Soit 8 voies et 8 servos.... je n'ai plus de place pour un parachute de secours !!! La prochaine fois, j'opterai pour une aile volante qui me libérera de la place pour cette fonctionnalité.... ;-)

- Sonde de tension pour récepteur Futaba à souder soi-même : 3€

- L'émission/réception vidéo : Un kit Fatshark Attitude V2 neuf acheté sur Le Bon Coin : 250€. Intérêt : Head Tracker intégré.

- Antennes Covercleaf LHCP :l 38€ la paire. Le LHCP ( polarisation à gauche ) est un choix personnel pour limiter le risque d'interférence sur le premier canal de la bande F qui est également celui ayant la meilleure portée de cette bande. Je ne désespère pas néanmoins de passer en Terrybuild....

- OSD Remzibi et son GPS : 25€

- Pan/tilt Fatshark + caméra 700TVL V2 : 35 € chez Hobbyking.

- kit Multiplex Multilight 5 LEDs, histoire de me conformer avec la législation à venir, mais surtout parce que c'est carrément fun ;-) : 26€
L'avantage de ce kit est de pouvoir être alimenté par le récepteur et commandé depuis la radio, avec 3 positions : éteint, feux de position, feux de position + anti-collision.
L'idée d'allumer les feux blancs ( dont un clignotant ) en approche m'amuse rien que d'y penser !

- Le Bix3 : 110€ chez Hobbyking. J'ai retenu cet appareil pour de multiples raisons :
- le prix raisonnable
- la possibilité d'en acheter les pièces détachées
- l'aile haute pour une meilleure stabilité
- le train d'atterrissage amovible rendant l'appareil hybride planeur / avion
- l'hélice propulsive pour ne pas avoir l'effet stroboscopique de l'hélice dans le champ de vision, ni casser l'hélice à chaque atterrissage imparfait.
- utilisation de batteries 3S peu onéreuses
- la place dans la soute et l'envergure pour profiter d'une belle capacité d'emport
- le canopy interchangeable avec une plate-forme spécialement conçue pour recevoir du matériel FPV, faisant déjà partie du kit
- la satisfaction des différents appareils que j'ai déjà eu l'occasion de commander chez Hobbyking ( 2 Radjet 800 et un Stinger 64 MK2 )


Projet en cours : station de sol ayant pour objectif de jouer le rôle de boite noire. Je ne cherche pas à enregistrer des vidéo en HD, mais plutôt à enregistrer les dernières coordonnées GPS connues de l'appareil pour faciliter la recherche de l'épave, et surtout : essayer de comprendre ce qu'il s'est passé. Pour jouer cette fonction, j'ai dégoté un RC732-DVR à 80€ sur Ebay il y a seulement quelques jours, et je ne l'ai pas encore reçu... Je sais que ce n'est pas du high-tech et que je devrai vraisemblablement upgrader les antennes de son système diversity, mais pour un fonction de boite noire et d'écran de contrôle, cela me semble amplement suffisant : l'avenir me dira si c'était un bon choix, mais je ne me voyais pas assembler une deuxième usine à gaz pour surveiller la première.....

Pour l'instant, ces deux dernier dispositifs n'ont pas encore été testé en vol même s'ils sont pleinement opérationnels, faute d'une météorologie favorable pour un vol d'essai digne de ce nom..... la suite de cette expérience n'attend que d'être vécue : la modification de la charge de l'appareil aura obligatoirement une incidence sur le centrage et le réglage du piqueur automatique asservi à la sortie des volets.... Il y a donc encore du vol à vue en perspective avant de nouvelles immersions.

To be continued....

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fxttt;2521712 à dit:
Pour l'heure, j'envisage d'utiliser un dispositif de haute technologie pour surveiller la survenue d'un décrochage, ainsi que pour surveiller les vents latéraux : un bout de laine rouge de quelques petits centimètres fixé sur une mire noire sur le dessus du nez, juste devant la caméra, permettra de déceler les principaux mouvements d'air et d'anticiper la dérive. Cette technique est déjà employée en vol à voile grandeur.

Le brin de laine, j'aime bien. Les miens sont plutôt bleus. On les voit sur quelques uns de mes avions :


https://www.youtube.com/watch?v=AsXiXySKce4


https://www.youtube.com/watch?v=RsmawRUpvkY

Sur celui-ci, il y a un dispositif particulièrement sympa en plus du brin de laine et de l'indicateur de vitesse: un buzzer qui gueule dans le cockpit quand la vitesse diminue trop, comme un avertisseur de décrochage. Très utile sur cet avion. Si ça peut de donner des idées...
https://www.youtube.com/watch?v=7MMsWgA8pX8

Fred
 
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