Je comprends, c'est un choix. Le principal est de choisir en connaissance de cause.fxttt;2524774 à dit:mais dans mon cas, cela avait un impact sur la visibilité qui n'aurait pas été négligeable : c'est pour cette raison que j'ai préféré opter pour une compensation automatique à la dérive, en serrant les poings, les doigts et tout ce que je pouvais serrer. Par ailleurs, ma caméra est tellement en avant de la plate-forme que je n'étais pas sûr de pouvoir réaliser une protection qui soit à la fois aérodynamique, légère et efficace en même temps.
Petite anecdote : J'avais un Fieseler Storch à moteur thermique réducté, il y a 20 ans, qu'il fallait poser avec pas mal de moteur. Je me disais "pourvu qu'il ne cale pas, ce zinc, je vais avoir du mal à le ramener moteur calé si il plane comme un fer à repasser." Et puis c'est arrivé, il a calé en vol. Ö surprise, il s'est mis à planer assez honorablement, et je l'ai posé sans encombre. Sa grande hélice (elle était de dimension maquette) en rotation au ralenti freinait l'avion comme une ancre de croiseur, mais une fois en croix elle se faisait assez bien oublier.fxttt;2524910 à dit:je n'avais jamais rencontré cette problématique sur les moteurs thermiques .... C'est bien la première fois que je veux qu'une hélice s'arrête de tourner : d'habitude, je veux exactement le contraire !@ bientôt !