Sluggecko
Membre Sénior
Ça vaut ce que ça vaut mais bon…
OBJET DU POST
Problème récurrent de nombreux apprentis pilotes, et notamment sur l’hélicoptère Walkera Dragonfly 36, je vais chercher à créer une manoeuvre de contre à ce problème un peu complexe et aux sources variées.
INTRO
L’AC a pour but de contrer le couple créé par le rotor principal. Nos hélicos sont à propulsion mécanique, aussi l’entraînement du rotor se fait à partir d’un moteur fixé dans le chassis de la machine. Lorsque le moteur tourne il entraîne le rotor, mais rien n’est là pour empêcher le moteur, fixé au chassis (donc le chassis complet) de tourner dans le sens inverse de l’axe du moteur.
C’est le principe de réaction de base, le même qui régit le recul d’un fusil par exemple. Si vous ne tenez pas bien votre fusil lorsque vous tirez, toute force appliquée dans un sens entraînant la même force en sens opposé, il recule !
Idem pour une force rotative. Votre chassis, fixé sur ses patins ne bouge pas lorsque le rotor tourne tant qu’il y a une force de resistance avec le sol, mais en vol ?
En vol les hélicoptères à entraînement mécanique (il en existe un seul sans entraînement mécanique, avec propulsion d’air en bout de pale, le Djinn pour ceux que ça intéresse) ne disposant que d’un rotor, ont besoin d’un axe de force que l’on place à l’arrière de l’hélico pour contrer le « couple ». C’est le rotor anti-couple.
Fenestron sur une maquette de Dauphin aux couleurs des Coast Guards US
encore sous brevet français, le meilleur rotor d’AC actuel à ce que je sais (donc pas sûr !) …dommage qu’il n’ait pas servi au Tigre…
OBJET DU POST
Problème récurrent de nombreux apprentis pilotes, et notamment sur l’hélicoptère Walkera Dragonfly 36, je vais chercher à créer une manoeuvre de contre à ce problème un peu complexe et aux sources variées.
INTRO
L’AC a pour but de contrer le couple créé par le rotor principal. Nos hélicos sont à propulsion mécanique, aussi l’entraînement du rotor se fait à partir d’un moteur fixé dans le chassis de la machine. Lorsque le moteur tourne il entraîne le rotor, mais rien n’est là pour empêcher le moteur, fixé au chassis (donc le chassis complet) de tourner dans le sens inverse de l’axe du moteur.
C’est le principe de réaction de base, le même qui régit le recul d’un fusil par exemple. Si vous ne tenez pas bien votre fusil lorsque vous tirez, toute force appliquée dans un sens entraînant la même force en sens opposé, il recule !
Idem pour une force rotative. Votre chassis, fixé sur ses patins ne bouge pas lorsque le rotor tourne tant qu’il y a une force de resistance avec le sol, mais en vol ?
En vol les hélicoptères à entraînement mécanique (il en existe un seul sans entraînement mécanique, avec propulsion d’air en bout de pale, le Djinn pour ceux que ça intéresse) ne disposant que d’un rotor, ont besoin d’un axe de force que l’on place à l’arrière de l’hélico pour contrer le « couple ». C’est le rotor anti-couple.
Fenestron sur une maquette de Dauphin aux couleurs des Coast Guards US
encore sous brevet français, le meilleur rotor d’AC actuel à ce que je sais (donc pas sûr !) …dommage qu’il n’ait pas servi au Tigre…