• Bonsoir, je me rends juste compte que les notifications des nouveaux messages étaient limitées aux membres actifs dans les 30 derniers jours. Donc, j'ai supprimé cette option. En espérant que vous aurez bien les notifications attendues. Merci pour votre patience. Yves

Mastic, Mastic...

Merci pour ta réponse
effectivement je n'avais pas pensé à ces aspects la .

Je vais donc revoir mon projet et le modifier en conséquence.

@+
 
Salut ;)
Tu peux toujours faire un soum en limite de flottabilité et prévoir un petit ballast sous la forme d'une pompe reversible et dune poche souple type baxter... Une voie sur la télécommande, deux contacteurs et un pince durit au point neutre pour éviter les retours ou les entrées d'eau et le tour est joué... Et comme le dit Téba, tu auras la possibilité de naviguer entre deux eaux à basse vitesse et même de l'arrêter s'il est bien équilibré, de poser le soum à l'arrêt sur le fond etc... ce qui est intéressant par rapport à un soum en plongée dynamique qui doit être "à fond" pour pouvoir plonger et dont l'équilibre est toujours délicat à stabiliser car il faut piloter en jouant avec l'inclinaison des barres de plongée et la vitesse....
 
Je reprends ce sujet au vol, cherchant du mastic nitro cellulosique.

Mon propos porte en faits sur l'utilisation d'une pompe hydraulique, et de distributeurs pour vérins que nous utilisons couramment pour nos engins de TP électro hydrauliques.

Deux marques principales se disputent le marché, Magom, pas cher et Leimbach bien plus cher.

En faits pour vos utilisations aquatiques, Magom semble le plus approprié coté distributeurs car ceux ci sont en alu, avec des boisseaux en laiton.

Le principe : Une pompe à engrenages à lobes en alu et pignons laiton, pompe l'eau au travers d'une crépine, l'eau est envoyée aux distributeurs, (je dis aux distributeurs, car dans nos modèles il peut y en avoir une douzaine) , mais dans le cas d'un Soum un seul distributeur dispatche son eau vers de gros vérins, ça c'est la formule simple, mais dans notre réalité modèles le distributeur envoie de chaque coté des vérins de sortes qu'on a un temps moteur dans chaque sens de poussées des vérins.

Nos préssions usuelles tournet aux allentours de 25 bars, qui doit etre une limite, car nous utilisons des tubes plastiques polyamides à 55 bars, ou des tubes polyuréthane à 30 bars , avec l'avantage c'est que pour un soum l'eau reste froide, car la chaleur à des effets sur le ramollissement des tubes, leur moindres résistances voir leur éclatement pur et simple.

La formule pour un soum est donc la pompe qui puise l'eau au travers d'une crépine, l'envoie à deux gros vérins à simples effets, munis d'une tige et d'un joint de tige, cela pour faire varier le volume des ballasts.

La pompe fonctionne alors en réversibilité, d'un coté elle remplis, de l'autre elle vide, de la puissance de la pompe dépendra la vitesse du remplissage ou de la vidange.

Par acquit de conscience on place dans le circuit pompe d'un limiteur de pression débit qui renvois l'eau à l’extérieur, par une autre sortie, on muniras alors entrée et sorties de clapets de retenus, commandés ou non.

Pour subtube 1 la conception de ton soum au départ aurait été mieux avec un seul tube, en partie centrale l'appareillage, en avant et en arrière les ballasts.

Coté pompe on peut aussi en mettre deux de façons à pouvoir faire un équilibre statique au départ lors des plongées statiques.

Une fois le tube en léger poids négatif, l'action sur les barres de plongées rendra le soum en plongée dynamique, et comme dit notre ami, le fait de remplir plus les ballasts va permettre de mieux équilibrer le soum, et bien sur de le faire émerger rapidement.
 
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