coque de sous marin avec imprimante 3d?
- Initiateur de la discussion micrelec
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billoup
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Bonjour.
Je suis au CREPP -Club de Robotique d'Electronique et de Programmation de Ploemeur-, l'initiation à la robotique. L'objectif est aussi de monter une imprimante 3D en kit. dérivée de la PRUSA.
L'une des limites est la grandeur de la pièce. environ 15x15x15 cm. Le fil utilisé est de type PLA, Il tient mal à la chaleur et à l'eau. L'utilisation d'un fil en ABS nécessite une buse plus chaude.
La complexité est sans importance, elle est équipée d'une carte Arduino en Open Source à forte mémoire.
Le dessin 3D est transformé par un logiciel STL, en open source, en commandes pour l'imprimante.
Avec un peu d'expérience on peut intervenir à tous les niveaux
Il est plus facile de concevoir une pièce qu'avec un moulage classique: pas de dépouille, pas de problème pour les volumes fermés, des astuces pour les reprises dans le vide . Précision de l'ordre du 1/10 de mm. Des trous dans tous les sens.
Prix du kit 400 Euros. Elle sera montée sous la directive d'un jeune responsable qui nous a fait une belle démonstration Samedi matin.
Le logiciel de lancement et de programmation de la carte Arduino se fait, à partir d'un PC, qui a des des similitudes avec le QBASIC -BASIC compilé-.
Un club ayant réalisé cette première imprimante, pourrait allonger l'axe des X et permettre des impressions, au moins de la coque extérieure, voir plus. L'intérêt est aussi d'en faire plusieurs. Il y a des pièces, des supports, des engrenages fabricables par l'imprimante. C'est une autre façon de penser la mécanique de prototypage et de petite série.
Je ne serai pas étonné que nos voisins d'outre Rhin, passionnés en maquettes de sous-marins utilisent la procédure, du moins les firmes spécialisées pour remplacer les moulages manuels sur formes et diminuer le prix des kits avec une qualité dans les détails et une finition sans équivalence.
Merci.
P. S. Dans l'industrie on imprime avec avec des couleurs différentes avec plusieurs buses.
Il y a d'autres types d'imprimantes 3D.
Je suis au CREPP -Club de Robotique d'Electronique et de Programmation de Ploemeur-, l'initiation à la robotique. L'objectif est aussi de monter une imprimante 3D en kit. dérivée de la PRUSA.
L'une des limites est la grandeur de la pièce. environ 15x15x15 cm. Le fil utilisé est de type PLA, Il tient mal à la chaleur et à l'eau. L'utilisation d'un fil en ABS nécessite une buse plus chaude.
La complexité est sans importance, elle est équipée d'une carte Arduino en Open Source à forte mémoire.
Le dessin 3D est transformé par un logiciel STL, en open source, en commandes pour l'imprimante.
Avec un peu d'expérience on peut intervenir à tous les niveaux
Il est plus facile de concevoir une pièce qu'avec un moulage classique: pas de dépouille, pas de problème pour les volumes fermés, des astuces pour les reprises dans le vide . Précision de l'ordre du 1/10 de mm. Des trous dans tous les sens.
Prix du kit 400 Euros. Elle sera montée sous la directive d'un jeune responsable qui nous a fait une belle démonstration Samedi matin.
Le logiciel de lancement et de programmation de la carte Arduino se fait, à partir d'un PC, qui a des des similitudes avec le QBASIC -BASIC compilé-.
Un club ayant réalisé cette première imprimante, pourrait allonger l'axe des X et permettre des impressions, au moins de la coque extérieure, voir plus. L'intérêt est aussi d'en faire plusieurs. Il y a des pièces, des supports, des engrenages fabricables par l'imprimante. C'est une autre façon de penser la mécanique de prototypage et de petite série.
Je ne serai pas étonné que nos voisins d'outre Rhin, passionnés en maquettes de sous-marins utilisent la procédure, du moins les firmes spécialisées pour remplacer les moulages manuels sur formes et diminuer le prix des kits avec une qualité dans les détails et une finition sans équivalence.
Merci.
P. S. Dans l'industrie on imprime avec avec des couleurs différentes avec plusieurs buses.
Il y a d'autres types d'imprimantes 3D.
