Bonjour,
Je suis loin d'être un pro mais en vol sur le ventre, je pense que je me débrouille pas trop mal. (Merci le simu). Il y a 3 ans, je pouvais atterrir de face avec ou sans vent. Ce n'est peut être plus le cas aujourd'hui.
En ce qui me concerne, un des gros facteurs de progression, c'est d'avoir confiance en sa machine. Pour moi, l'helico est une école de rigueur. Autant en avion on peut se sortir d'un incident de vol, autant en hélico ca finit souvent mal.
Bref tout ça pour dire qu'avoir une machine dont on est sûr du fonctionnement est un facteur primordial pour la progression.
Il y a 3 ans, j'ai acheté un Raptor quasi neuf d'occasion et je ne me suis jamais senti à l'aise avec. Au bout d'une dixaine de vols je me suis apercu que le pot se dévissait et que la couronne principale était montée à l'envers. Je n'ai pas revolé avec et après une pose de 3 ans, je viens de reprendre aujourd'hui avec mon vieux shuttle que j'ai rafistolé de partout mais que je connais bien.
Après quelques réglages, en 2 petit vols, j'ai repris totalement confiance en la machine et en moi.
Je vais quand même y aller molo, histoire de pas le crasher trop vite (ca m'est arrivé aussi).
Je sais que la prochaine barrière psychologique à franchir, c'est les figures de voltige car je ne suis pas sûr de mon hélico dans cette phase, parceque je n'ai pas vraiment expérimenté, ou alors avec malheur.
Mon défaut, c'est que mon impatience m'empêche parfois d'être raisonnable vis à vis de l'état de l'hélico. Du coup il m'arrive de voler avec un hélico mal réglé ou un pb non résolu et du coup je ne suis pas cool en vol et en ce qui me concerne, cela bloque beaucoup ma progression. Je le sais donc je me soigne
Par contre, pour aller dans ton sens "papayankee", je veux bien avoir des conseils pour franchir le pas psychologique du vol inverse. J'avoue que je suis moins acharné du simu que j'ai pu l'être et que ça devrait surement à nouveau me rendre service.
Merci donc aux pros pour votre contribution à ce post intéressant.