philkaloula
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[h=1]Vous avez aimé la construction du Transall, alors vous aller adorer celle du Noratlas, le célèbre Nord 2501 de la SNCAN, un monument du genre...!
Maintenant que l'étape psychologique de la construction de "p'tit gros" en dépron est digérée, on passe la surmultipliée et on y va....Mais attention, le Noratlas est un sujet relativement compliqué à réaliser ce qui explique peut être sa rareté sur les terrains.[/h][h=1]Cet avion sera aux couleurs de l'école de l'air de Salon et portera fièrement le n° de série 159 avec l'immatriculation 312-BG[/h][h=1]Le plan 3 vues imprimé en A4 sera agrandi 10 fois pour une envergure proche de celle du Transall soit 2700mm. La configuration GMP et puissance sera identique.[/h][h=1]
L'avion devra être creux et en capacité de recevoir des charges largables en soute avec les deux demi-coquilles arrière amovibles comme sur le grandeur.
Un couple "gabarit" sera taillé et servira de modèle pour la construction.
Comme pour le Transall, les couples sont assemblés non évidés ce qui facilitera l'enroulement de la peau du fuseau. Tout est taillé dans du dépron 6mm sauf les liaisons inter-cadres.
La peau est enroulée en deux parties.
Le dessous....
et le dessus.
Les deux tronçons centraux n'ont plus qu'à être assemblés.
Un cadre de liaison reprenant les efforts de la structure est réalisé en CTP 5mm et encadré de deux cadres en dépron 9mm.
Il sera collé à la colle blanche et mis sous presse pour 24h
Un berceau est réalisé à ce stade afin de pouvoir travailler sur 360°
Le couple avant de poste de pilotage avec sa porte est installé.
Là, le travail se complique. Le Noratlas possède un nez et un "cul" vraiment tout rond. Je vais mettre en oeuvre une construction très "traditionnelle" pour éviter l'utilisation de gros bloc de mousse disgracieux et rendre ainsi le coté "maquette" plus réaliste*[/h][h=1]* Je n'ai évidemment pas la prétention de réaliser une "maquette exacte" au sens puriste du terme mais plutôt de produire un avion silhouette le plus proche de la réalité et surtout, avec lequel je puisse jouer...![/h][h=1]Le travail est minutieux et demande plus de dextérité que les assemblages auxquels nous avons déjà eu affaire...
Mais le résultat est là. Seule inconnue, sera t'il possible de recouvrir cette forme totalement non développable avec une feuille de dépron plane?
Et bien oui... Cela relève davantage du travail de carrossier que du modélisme. Il suffit de tailler des petits éléments de dépron et de les mettre patiemment en forme avec quelques pressions bien appliquées des doigts aux bons endroits. Le résultat est surprenant et ouvre bien d'autres persepectives....
Une fois poncé, le revêtement est quasi parfait. On note la trappe de train qui sera rentrant et le logement du phare de roulage.
Le poste de pilotage est réalisé à ce stade car on ne pourra plus le rentrer après.
Il reste à construire les montants de verrière.
Pas facile sur ce zinc qui possède un large panoramique pour les pilotes.
Les montant sont en peuplier 5x5 collés à la cyano.
Argh! ça commence à déchirer....
L'arrière est encore plus compliqué. Il n'est pas vraiment rond mais en plus il devra s'ouvrir pour laisser l'accès à la soute tout en conservant la casquette de largage du fret solidaire du fuseau.[/h][h=1]Il m'a fallu plusieurs jours pour venir à bout de cet élément.
Mais pour ceux qui connaissent cet avion, je pense qu'ils reconnaîtront.
Le recouvrement ne va pas être non plus une balade de santé.
Tout doit se faire en conservant la désolidarisation des deux portes.
L'heure de la séparation des éléments est venue.
La soute est volumineuse comme sur le Transall.
Et l'intérieur des portes est réaliste.
Une fois coffrées, les deux portes vont être séparées.
C'est franchement très beau et ultra léger...
Une fois peint, on se rend mieux compte du rendu.
/./
[/h][h=1]Grâce à Philippe (l'autre), notre découpeuse numérique reprend vie.[/h][h=1]On va la mettre à l'épreuve pour tailler dans la foulée les plans de voilure et les poutres.[/h][h=1]
[/h][h=1]Le résultat est parfait[/h][h=1]
[/h][h=1]En quelques heures de découpe, voilà que la livraison de mon "kit" de Noratlas vient de m'être livré.... Non... en dessous, c'est le Transall
[/h][h=1]C'est juste sublime.......
Le chantier avance bien. C'est très prometteur...
[/h][h=1]Sauf qu'on est maintenant en août et que je n'avais pas anticipé la fermeture des fournisseurs. Moralité, le chantier est bloqué par manque de la clé d'aile qui est un point central de la construction à ce stade. On va donc s'occuper à quelques détails annexes pour patienter.[/h][h=1]Le marouflage du fuseau est réalisé au tissus de verre 25g et résine epoxy.
Vous remarquerez à ce stade que j'ai fait une erreur en oubliant de renforcer le marouflage de ce fragile fuseau avec des mèches de carbone. Cet oublie a engendré de vilaines criques lors d'un posé un peu "sport". Ceci a été réglé depuis.[/h][h=1]
Idem pour les coquilles de soute.
Je ne résiste pas à mettre en situation les éléments constitutifs de l'avion fraîchement sortis de la découpeuse JEDICUT.
Seule ombre au tableau, cette trace sur l'extrados due à un assemblage par collage en usine de deux pains de mousse de 50mm. Et moi qui croyait acheter du 100mm.... Grrr!
Bref, les assemblages sont millimétriques.[/h][h=1]La position des ailerons et des volets est relevée à ce stade.
./.[/h][h=1]
[/h][h=1]La découpe du longeron est effectuée (même s'il fait défaut pour l'instant)[/h][h=1]
[/h][h=1]Il faut maintenant effectuer la trouée de passage de l'aile. C'est une phase désagréable. Je n'aime pas détruire une partie de la maquette. En plus, la moindre erreur serait fatale...[/h][h=1]
[/h][h=1]La position est finalement bonne et le calage correct. Il faudra encore faire la porte équipage, la trappe radio, les 25 hublots de 25mm y compris de dôme de vigie supérieur (astro-dôme) et la porte d’accès aux batteries... Un vrai gruyère.[/h][h=1]
Pour la peinture alu, le meilleur rendu sera obtenu en passant une 1ere couche de noir mat avant le gris métal. Le rendu alu sera parfait une fois sec et passé au vernis mat.
Idem pour les montants de parebrise.
Les coquilles vues de l'intérieur sont assez réalistes depuis la pose des petits hublots verticaux.
Le fuseau est peint en noir également.
Les éléments supérieurs de la voilure sont positionnés pour voir...
On commence à voir la bête.
Le 1er équipement électrique posé est.... le phare de roulage. Je vous avait dit, c'est le mois d’août.... alors on bricole!
Les 1ers tests de traits de structure sont faits. Pas satisfaisant.... à suivre.
La préparation de l’empennage peut commencer, ce sera toujours ça de gagné. Le stab en dépron 9mm sera renforcé par deux longerons carbone et marouflé par la suite.
Les dérives également en dépron 9mm elles seront conservées tel-quel.
Le tout est positionné pour vérifier les encombrements. L'engin en impose . Ce cadre recouvre presque la totalité du plan de travail.
./.
Les coquilles à leur place.
Pour les hublots en dia 25mm, la solution finalement retenue sera celle des joints de plomberie peints et collés sur un petit plexi.
Le résultat final est très satisfaisant.
Reste une petite finition réaliser sur le contour de chaque hublots.
[/h][h=1]Pour l'astrodôme, un vieux compas à l'abandon va faire l'affaire.[/h][h=1]Et hop, encore un trou.[/h][h=1]
[/h][h=1]Ça le fait![/h][h=1]
Pendant qu'on y est, il y a les nacelles moteur à assembler et à mettre en forme. Pour ça, je vais utiliser les chutes de découpe des poutres et tailler dedans les sections utiles pour les nacelles.
Elles sont légèrement coniques avec une face avant couvrant en partie le moteur.
Voilà une fois dégrossie la forme de chaque nacelle. Vous noterez le travail de débile consistant à reproduire à la peinture la spirale d'effarouchement aviaire......
[/h][h=1]En attendant, le train avant et sa direction sont posés.[/h][h=1]
[/h][h=1]Les fournisseurs sont rentrés de vacances. Les tubes carbone aussi.
Voilà enfin le fourreau de clé d'aile tant attendu (16x6) qui bloquait tout le chantier. Le tronçon central est coupé sur la longueur au niveau du CG et le foureau y sera collé à la deux composants.[/h][h=1]
Vient ensuite l'assemblage du reste de l'aile calée dans la dépouille.[/h][h=1]Notez le vide destiné au couple en ctp 5mm du fuseau.
Ce vide est comblé provisoirement par un morceau de dépron qui sera retiré une fois l'intrados du tronçon résiné.[/h][h=1]Il va falloir faire passer tout ça dans les deux cotés du tronçon.
Cette étape nécessite un soin particulier car il sera impossible d'intervenir sur le réseau une fois l'avion fini...
Je vais utiliser la saignée disponible sous le fourreau.[/h][h=1]Les cavités de raccordement sont creusées à chaud dans le profil
Tout est bouché à l'aide de fines bandes de dépron collées à chaud.
Y compris la clé de centrage.
Vient maintenant le moment de fibrer l'intrados du tronçon central. Des mèches de carbone sont placées pour recevoir les efforts des trains principaux.
Je profite de la résine pour fibrer le stab également.
La bande dépron provisoire est retirée et la présentation de l'ensemble peut avoir lieu. Notez les faisceaux bâbord et tribord qui seront fixés sur le cadre descendant afin de n'avoir aucun fil visible en soute de largage.
Ça rentre pil-poil. Pas de jeu et calage parfait.
Les faisceaux sont fixés. On ne voit rien. La soute radio sera, comme sur le Transall, sous le plancher de soute cargo (non présent sur la photo.).
La sortie des conducteurs en soute radio sans le plancher.
Un fois le plancher posé, on y voit plus clair...
Les éléments radio peuvent maintenant être mis en place.
Tout les tests de continuité sont fait... RAS, on peut passer au karman d'aile et aux différentes finitions.
Une fois solidarisé à la colle deux composants, le cadre en CPT est refermé par une bande de dépron et du mastic epoxy.
Les pièces de jonction sont réalisées à la découpeuse numérique... Un jeu d'enfant maintenant que l'on commence à maîtriser la bête.[/h][h=1]L'assemblage est vraiment parfait.
La radio est testée une dernière fois avant verrouillage définitif du tronçon central qui ne sera plus démontable ni accessible par la suite.[/h][h=1]RAS
Les trains principaux sont positionnés et raccordés.
La longueur des jambes est 5 mm trop courte. On verra cela plus tard. Ce sera rattrapé par la mise en place de roues plus grandes mais il me faut changer les jambes de trains.
Une plaque de dépron valide la position de l'avion sur ses 3 points de touché.[/h][h=1]
C'est le moment de le retourner et de le voir sur ses roues.
Franchement, c'est beau...!
La hauteur est presque bonne.
Il manque 5mm...
Trains rentrés... OK!
On passe à la mise en place des nacelles. Là, attention, la moindre erreur de calage se traduira par un avion déformé. On a dû s'y reprendre à plusieurs reprises pour enfin obtenir le calage définitif.... Franchement, ce boulot là à la main? Même pas en rêve!
Une petite tricherie est opérée sur la position des trains pour gagner quelques précieux mm... Cela ne se verra pas...
Le dessous de la nacelle et le bloc GMP est installé dans la foulée.... ça va vite là!
Le séchage long de la colle à chaud isolée dans le matériau est réalisé verticalement.
Mais une fois remis à plat, on découvre cette silhouette tant attendue.
Et le moteur tournant, alors là....!
Pareil pour l'autre coté et hop, séance shooting photo à l'extérieur....
[/h][h=1]Alors? ça vous plait? On continue?? A suivre donc.[/h][h=1]Ce chantier se poursuit avec la réalisation des deux poutres de queue.[/h][h=1]Chaque paire de demi poutre découpée par JEDICUT est assemblée à l'aide d'un fin filet de colle à chaud. Des entailles sont taillées à l'arrière pour laisser passer stab et dérives. Les deux dérives sont collées d'équerre sur le stab.[/h][h=1]Le tout est présenté et le réglage definitif du calage général est obtenu par léger ponçage des plans de jonction.[/h]
[h=1]Cette étape est cruciale pour obtenir le bon résultat de la symétrie de l'avion. Les baguettes de balsa vont servir "d'aiguilles" pour passer les fils de commande dans les poutres.
Un bon équerrage de l'ensemble est indispensable.
Tout les repères sont tracés au crayon sur la plaque d'extrudé servant de "marbre" pour l'occasion.
Le chantier est prêt. L'assemblage final va être réalisé à la colle epoxy deux composants et nécessitera un séchage long pour garantir la bonne tenue de l'ensemble avant marouflage au tissus de verre.
Un scotch de protection est préparé pour maintenir l'assemblage en place pendant le séchage.[/h][h=1]Une cale carbone est placée à l'endroit exact qui permet d'obtenir le calage parfait de l'ensemble. Les deux plans d'assemblage doivent être parfaitement alignés.
Il n'y a plus qu'à rassembler l'ensemble de la construction et ainsi, refermer définitivement ce rectangle "volant"
Une dernière vérification des différents angles est faite en partant de la référence du sol "plaque de dépron" avec l'angle d'attaque de l'aile, l'incidence aile/stab et alignement des poutres par rapport au fuselage.[/h][h=1]Tout est ok, on laisse sécher la nuit.
Le résultat du matin est juste .... comment dire..... beau!
Les poutres sont brutes, il reste à les mastiquer et à les poncer délicatement pour ne pas casser l'avion qui est très fragile à ce stade.
Cet assemblage est vraiment impressionnant.
On va pouvoir passer au chantier de marouflage.
La pose de renforts carbone est indispensable pour parfaire les liaisons mécaniques des poutres au niveau des bâtis moteurs et du collage du bord de fuite. Les karmans poutres/ailes sont renforcés avec une petite bande de tissus de verre à 80g.
Les emplacements dédiés aux roues et trains principaux ont été creusés au préalable.
[/h][h=1]
[/h][h=1]On tient le bon bout! Le travail suivant va consister à tailler les parties mobiles des dérives qui sont chacune traversante de la poutre.[/h][h=1]
La partie mobile est découpée sur toute la hauteur de la dérive et coupée en trois. Un axe de liaison passant dans un tube guide est collé à la bonne longueur.[/h][h=1]La partie centrale sera collée fixe.
Il est important d'aligner la découpe au ras de la poutre.[/h][h=1]Les arrêtes de dérives sont également mises en place ce qui a pour effet de redresser visuellement l'harmonie de la vue de profil.
Le volet mobile est installé via 4 charnières crayon.
Le tube de liaison est collé dans l'axe du plan vertical à la colle à chaud.
Puis la partie centrale et l'habillage en mousse de la fin de la queue sont collés en place. Les deux volets doivent être parfaitement solidaires et libres de mouvement.
Idem pour l'autre coté.[/h][h=1]Et oui, sur un bipoutre, le travail est souvent en double.
Tout est prêt pour le marouflage final.
Une photo de profil permet de vérifier à l'oeil l'ensemble des calages. Tout à l'air en harmonie...
Cette fin de marouflage est une promenade de santé...![/h][h=1]Vous noterez les renforts verticaux en mèche de carbone sur le deux plans fixes de dérive. Ils n'ont d'utilité que pour rigidifier ces deux plans... non pas pour le vol, mais pour supporter les deux antennes décamétriques qui seront tendues en biais entre les dérives et le fuseau.
Pour l'instant, elles sont bien verticales.... Pourvu que ça dure.
./.
./.
La peinture blanche du toit de la cellule est posée....
[/h][h=1]Reste la pose des hublots tribord, la découpe de la trappe d'accès aux batteries, la réalisation du pare-brise à plusieurs facettes et les échappements moteurs.... Ensuite, ce que j'aime le plus, la peinture et la déco finale![/h][h=1]Ah oui, il reste les ailes aussi....![/h]
[h=1]La pose des servos de direction et de profondeur est effectuée directement sur les queues.[/h]
[h=1]La trappe d'accès aux batterie est taillée à l'avant. Elle ne correspond pas à la réalité mais on va faire en sorte qu'elle disparaisse dans la déco.[/h]
[h=1]La mise en peinture peut commencer.[/h]
[h=1]Et le résultat est là! On ne voit plus la trappe batteries.[/h]
[h=1]Arghh![/h]
[h=1]Au tour de la pose des aimants de fixation des deux coquilles amovibles.[/h]
[h=1]Le chantier final des ailes peut commencer. Pose des BA & BF.
Ces deux noyaux accusent une masse de 490 à nu. On verra ce que leur préparation va engendrer comme prise de poids.
Il n'y a pas de dièdre sur cet avion. Seul, l'extrados est parfaitement aligné. La sensation de léger dièdre est obtenu grâce à la diminution de l'épaisseur relative du profil qui va décroissante aux saumons.[/h][h=1]Le calage sera obtenu grâce à un niveau de maçon sur lequel 4 cales de mousses identiques seront scotchées.Les deux centrales servant de calage du procédé.
La saignée des foureaux principaux de clé d'aile est taillée.
Puis le fourreau est engagé préalablement renforcé au scotch armé fibre de verre.
L'ensemble sera alors positioné
Les emplantures seront verrouillées par 4 cales en CTP tenues par des pinces auto-serrantes.
De la résine époxy est alors injectée à la seringue pour la liaison du fourreau dans le noyau d'aile, le tout en place et calé.
Idem sur l'autre coté. Une masse de 5 kg viens affermir le calage.
Une fois la cale déposée, la forme de l'avion en croix est alors bien perceptible.
Vient le tour des clés d'aile secondaires. La saignée est taillée sur l'intrados,
et le collage s'effectue à la seringue une fois les plans calés.
Y a plus qu'à attendre le parfait séchage de l'assemblage.
L'avion peut alors être remis à l'endroit.
Un parfait coulissement des 2 clés est impératif.
Vérification des calages.... tout est OK!
Vient le tour des enfouissement de câblages servos, phare et feux de position. Les ailerons et volets sont définitivement tracés et la position des servos est relevée.
On vérifie la bonne continuité des réseaux avant de refermer les saignées.
Ce qui est chose faite après.
[/h][h=1]Sur la balance, les ailes accusent 1045g...!
Les volets sont des volets d'intrados. Il va donc falloir réaliser un petit décaissé de 3 mm, épaisseur du CTP utilisé pour le volet afin que refermés, les volets fondent dans l'épaisseur de l'aile.[/h][h=1]Pour ce faire, une tranche sera taillée sur le BA de la pièce découpée...
Une fois recollée en place, cette pièce étant plus courte, elle laisse apparaître le parfait décaissé.
[/h][h=1]4 volets sont réalisés et assemblés au moyen de charnières scotch.
Ils doivent être parfaitement ajustés.
Une fois refermés, tout est lisse. Les ailerons sont taillés également.
L'installation des servos ne pose pas de problèmes particuliers.[/h][h=1]Volets rentrés,
Volets sortis position 2
Vus à l'endroit.
C'est l'heure de la mise en peinture finale....
La solidarisation des ailes se fera grâce à ces astucieuses chevilles spéciales mousse.... Une patte de liaison viendra verrouiller l'ensemble.
Ça y est, il fini....
6kg500 tout rond.
Il faudra 2 3S5200ma de 390g pièce pour parfaire le centrage, soit un peu plus de 7kg pour son 1er test en vol.
[/h][h=1]Et voilà la fin de ce super chantier. Il faut bien avouer qu'il a de la gueule ce zinc.....[/h]
[h=1]Il est temps maintenant de passer au 1er vol.....[/h][h=1]Aujourd'hui le vent est plein travers et bien soutenu mais nous avons assez attendu ce moment. On y va.[/h][h=1]
Le décollage est franc. La puissance est au RDV et les 7 kg de cette superbe machine se font rapidement oublier.
Une petite embardée sur tribord à cause du vent et montée initiale....
Rapidement, deux sensations apparaissent.
D'abord le centrage. L'avion semble un poil centré arrière. Ceci sera corrigé aux prochains vols avec le déplacement des batteries vers l'avant. Il y a de la marge, ce ne sera pas un problème.
Mais également, l'obligation d'un pilotage 3 axes un peu comme sur un planeur. C'est très surprenant de la part d'un avion pas si allongé que cela.
L'avion est fin mais le dimensionnement des volets impose une pente de descente franche.
Même la puissance à zéro, l'avion à du mal à vouloir descendre.
Mais quel bonheur de pilotage....
L'avion est très sain et demande vraiment à être chatouillé.
Il n'y a que le bruit qui dénote.... Enfin quel bruit? on ne l'entend pas!
[/h][h=1]Voilà, j'espère que ce passionant sujet vous aura donné des idées.....
La vidéo du 1er vol...[/h]https://vimeo.com/638162284
[h=1]Bons vols à tous, Phil[/h]
Maintenant que l'étape psychologique de la construction de "p'tit gros" en dépron est digérée, on passe la surmultipliée et on y va....Mais attention, le Noratlas est un sujet relativement compliqué à réaliser ce qui explique peut être sa rareté sur les terrains.[/h][h=1]Cet avion sera aux couleurs de l'école de l'air de Salon et portera fièrement le n° de série 159 avec l'immatriculation 312-BG[/h][h=1]Le plan 3 vues imprimé en A4 sera agrandi 10 fois pour une envergure proche de celle du Transall soit 2700mm. La configuration GMP et puissance sera identique.[/h][h=1]
L'avion devra être creux et en capacité de recevoir des charges largables en soute avec les deux demi-coquilles arrière amovibles comme sur le grandeur.
Un couple "gabarit" sera taillé et servira de modèle pour la construction.
Comme pour le Transall, les couples sont assemblés non évidés ce qui facilitera l'enroulement de la peau du fuseau. Tout est taillé dans du dépron 6mm sauf les liaisons inter-cadres.
La peau est enroulée en deux parties.
Le dessous....
et le dessus.
Les deux tronçons centraux n'ont plus qu'à être assemblés.
Un cadre de liaison reprenant les efforts de la structure est réalisé en CTP 5mm et encadré de deux cadres en dépron 9mm.
Il sera collé à la colle blanche et mis sous presse pour 24h
Un berceau est réalisé à ce stade afin de pouvoir travailler sur 360°
Le couple avant de poste de pilotage avec sa porte est installé.
Là, le travail se complique. Le Noratlas possède un nez et un "cul" vraiment tout rond. Je vais mettre en oeuvre une construction très "traditionnelle" pour éviter l'utilisation de gros bloc de mousse disgracieux et rendre ainsi le coté "maquette" plus réaliste*[/h][h=1]* Je n'ai évidemment pas la prétention de réaliser une "maquette exacte" au sens puriste du terme mais plutôt de produire un avion silhouette le plus proche de la réalité et surtout, avec lequel je puisse jouer...![/h][h=1]Le travail est minutieux et demande plus de dextérité que les assemblages auxquels nous avons déjà eu affaire...
Mais le résultat est là. Seule inconnue, sera t'il possible de recouvrir cette forme totalement non développable avec une feuille de dépron plane?
Et bien oui... Cela relève davantage du travail de carrossier que du modélisme. Il suffit de tailler des petits éléments de dépron et de les mettre patiemment en forme avec quelques pressions bien appliquées des doigts aux bons endroits. Le résultat est surprenant et ouvre bien d'autres persepectives....
Une fois poncé, le revêtement est quasi parfait. On note la trappe de train qui sera rentrant et le logement du phare de roulage.
Le poste de pilotage est réalisé à ce stade car on ne pourra plus le rentrer après.
Il reste à construire les montants de verrière.
Pas facile sur ce zinc qui possède un large panoramique pour les pilotes.
Les montant sont en peuplier 5x5 collés à la cyano.
Argh! ça commence à déchirer....
L'arrière est encore plus compliqué. Il n'est pas vraiment rond mais en plus il devra s'ouvrir pour laisser l'accès à la soute tout en conservant la casquette de largage du fret solidaire du fuseau.[/h][h=1]Il m'a fallu plusieurs jours pour venir à bout de cet élément.
Mais pour ceux qui connaissent cet avion, je pense qu'ils reconnaîtront.
Le recouvrement ne va pas être non plus une balade de santé.
Tout doit se faire en conservant la désolidarisation des deux portes.
L'heure de la séparation des éléments est venue.
La soute est volumineuse comme sur le Transall.
Et l'intérieur des portes est réaliste.
Une fois coffrées, les deux portes vont être séparées.
C'est franchement très beau et ultra léger...
Une fois peint, on se rend mieux compte du rendu.
/./
Le chantier avance bien. C'est très prometteur...
Vous remarquerez à ce stade que j'ai fait une erreur en oubliant de renforcer le marouflage de ce fragile fuseau avec des mèches de carbone. Cet oublie a engendré de vilaines criques lors d'un posé un peu "sport". Ceci a été réglé depuis.[/h][h=1]
Idem pour les coquilles de soute.
Je ne résiste pas à mettre en situation les éléments constitutifs de l'avion fraîchement sortis de la découpeuse JEDICUT.
Seule ombre au tableau, cette trace sur l'extrados due à un assemblage par collage en usine de deux pains de mousse de 50mm. Et moi qui croyait acheter du 100mm.... Grrr!
Bref, les assemblages sont millimétriques.[/h][h=1]La position des ailerons et des volets est relevée à ce stade.
./.[/h][h=1]
Pour la peinture alu, le meilleur rendu sera obtenu en passant une 1ere couche de noir mat avant le gris métal. Le rendu alu sera parfait une fois sec et passé au vernis mat.
Idem pour les montants de parebrise.
Les coquilles vues de l'intérieur sont assez réalistes depuis la pose des petits hublots verticaux.
Le fuseau est peint en noir également.
Les éléments supérieurs de la voilure sont positionnés pour voir...
On commence à voir la bête.
Le 1er équipement électrique posé est.... le phare de roulage. Je vous avait dit, c'est le mois d’août.... alors on bricole!
Les 1ers tests de traits de structure sont faits. Pas satisfaisant.... à suivre.
La préparation de l’empennage peut commencer, ce sera toujours ça de gagné. Le stab en dépron 9mm sera renforcé par deux longerons carbone et marouflé par la suite.
Les dérives également en dépron 9mm elles seront conservées tel-quel.
Le tout est positionné pour vérifier les encombrements. L'engin en impose . Ce cadre recouvre presque la totalité du plan de travail.
./.
Les coquilles à leur place.
Pour les hublots en dia 25mm, la solution finalement retenue sera celle des joints de plomberie peints et collés sur un petit plexi.
Le résultat final est très satisfaisant.
Reste une petite finition réaliser sur le contour de chaque hublots.
Pendant qu'on y est, il y a les nacelles moteur à assembler et à mettre en forme. Pour ça, je vais utiliser les chutes de découpe des poutres et tailler dedans les sections utiles pour les nacelles.
Elles sont légèrement coniques avec une face avant couvrant en partie le moteur.
Voilà une fois dégrossie la forme de chaque nacelle. Vous noterez le travail de débile consistant à reproduire à la peinture la spirale d'effarouchement aviaire......
Voilà enfin le fourreau de clé d'aile tant attendu (16x6) qui bloquait tout le chantier. Le tronçon central est coupé sur la longueur au niveau du CG et le foureau y sera collé à la deux composants.[/h][h=1]
Vient ensuite l'assemblage du reste de l'aile calée dans la dépouille.[/h][h=1]Notez le vide destiné au couple en ctp 5mm du fuseau.
Ce vide est comblé provisoirement par un morceau de dépron qui sera retiré une fois l'intrados du tronçon résiné.[/h][h=1]Il va falloir faire passer tout ça dans les deux cotés du tronçon.
Cette étape nécessite un soin particulier car il sera impossible d'intervenir sur le réseau une fois l'avion fini...
Je vais utiliser la saignée disponible sous le fourreau.[/h][h=1]Les cavités de raccordement sont creusées à chaud dans le profil
Tout est bouché à l'aide de fines bandes de dépron collées à chaud.
Y compris la clé de centrage.
Vient maintenant le moment de fibrer l'intrados du tronçon central. Des mèches de carbone sont placées pour recevoir les efforts des trains principaux.
Je profite de la résine pour fibrer le stab également.
La bande dépron provisoire est retirée et la présentation de l'ensemble peut avoir lieu. Notez les faisceaux bâbord et tribord qui seront fixés sur le cadre descendant afin de n'avoir aucun fil visible en soute de largage.
Ça rentre pil-poil. Pas de jeu et calage parfait.
Les faisceaux sont fixés. On ne voit rien. La soute radio sera, comme sur le Transall, sous le plancher de soute cargo (non présent sur la photo.).
La sortie des conducteurs en soute radio sans le plancher.
Un fois le plancher posé, on y voit plus clair...
Les éléments radio peuvent maintenant être mis en place.
Tout les tests de continuité sont fait... RAS, on peut passer au karman d'aile et aux différentes finitions.
Une fois solidarisé à la colle deux composants, le cadre en CPT est refermé par une bande de dépron et du mastic epoxy.
Les pièces de jonction sont réalisées à la découpeuse numérique... Un jeu d'enfant maintenant que l'on commence à maîtriser la bête.[/h][h=1]L'assemblage est vraiment parfait.
La radio est testée une dernière fois avant verrouillage définitif du tronçon central qui ne sera plus démontable ni accessible par la suite.[/h][h=1]RAS
Les trains principaux sont positionnés et raccordés.
La longueur des jambes est 5 mm trop courte. On verra cela plus tard. Ce sera rattrapé par la mise en place de roues plus grandes mais il me faut changer les jambes de trains.
Une plaque de dépron valide la position de l'avion sur ses 3 points de touché.[/h][h=1]
C'est le moment de le retourner et de le voir sur ses roues.
Franchement, c'est beau...!
La hauteur est presque bonne.
Il manque 5mm...
Trains rentrés... OK!
On passe à la mise en place des nacelles. Là, attention, la moindre erreur de calage se traduira par un avion déformé. On a dû s'y reprendre à plusieurs reprises pour enfin obtenir le calage définitif.... Franchement, ce boulot là à la main? Même pas en rêve!
Une petite tricherie est opérée sur la position des trains pour gagner quelques précieux mm... Cela ne se verra pas...
Le dessous de la nacelle et le bloc GMP est installé dans la foulée.... ça va vite là!
Le séchage long de la colle à chaud isolée dans le matériau est réalisé verticalement.
Mais une fois remis à plat, on découvre cette silhouette tant attendue.
Et le moteur tournant, alors là....!
Pareil pour l'autre coté et hop, séance shooting photo à l'extérieur....
[h=1]Cette étape est cruciale pour obtenir le bon résultat de la symétrie de l'avion. Les baguettes de balsa vont servir "d'aiguilles" pour passer les fils de commande dans les poutres.
Un bon équerrage de l'ensemble est indispensable.
Tout les repères sont tracés au crayon sur la plaque d'extrudé servant de "marbre" pour l'occasion.
Le chantier est prêt. L'assemblage final va être réalisé à la colle epoxy deux composants et nécessitera un séchage long pour garantir la bonne tenue de l'ensemble avant marouflage au tissus de verre.
Un scotch de protection est préparé pour maintenir l'assemblage en place pendant le séchage.[/h][h=1]Une cale carbone est placée à l'endroit exact qui permet d'obtenir le calage parfait de l'ensemble. Les deux plans d'assemblage doivent être parfaitement alignés.
Il n'y a plus qu'à rassembler l'ensemble de la construction et ainsi, refermer définitivement ce rectangle "volant"
Une dernière vérification des différents angles est faite en partant de la référence du sol "plaque de dépron" avec l'angle d'attaque de l'aile, l'incidence aile/stab et alignement des poutres par rapport au fuselage.[/h][h=1]Tout est ok, on laisse sécher la nuit.
Le résultat du matin est juste .... comment dire..... beau!
Les poutres sont brutes, il reste à les mastiquer et à les poncer délicatement pour ne pas casser l'avion qui est très fragile à ce stade.
Cet assemblage est vraiment impressionnant.
On va pouvoir passer au chantier de marouflage.
La pose de renforts carbone est indispensable pour parfaire les liaisons mécaniques des poutres au niveau des bâtis moteurs et du collage du bord de fuite. Les karmans poutres/ailes sont renforcés avec une petite bande de tissus de verre à 80g.
Les emplacements dédiés aux roues et trains principaux ont été creusés au préalable.
La partie mobile est découpée sur toute la hauteur de la dérive et coupée en trois. Un axe de liaison passant dans un tube guide est collé à la bonne longueur.[/h][h=1]La partie centrale sera collée fixe.
Il est important d'aligner la découpe au ras de la poutre.[/h][h=1]Les arrêtes de dérives sont également mises en place ce qui a pour effet de redresser visuellement l'harmonie de la vue de profil.
Le volet mobile est installé via 4 charnières crayon.
Le tube de liaison est collé dans l'axe du plan vertical à la colle à chaud.
Puis la partie centrale et l'habillage en mousse de la fin de la queue sont collés en place. Les deux volets doivent être parfaitement solidaires et libres de mouvement.
Idem pour l'autre coté.[/h][h=1]Et oui, sur un bipoutre, le travail est souvent en double.
Tout est prêt pour le marouflage final.
Une photo de profil permet de vérifier à l'oeil l'ensemble des calages. Tout à l'air en harmonie...
Cette fin de marouflage est une promenade de santé...![/h][h=1]Vous noterez les renforts verticaux en mèche de carbone sur le deux plans fixes de dérive. Ils n'ont d'utilité que pour rigidifier ces deux plans... non pas pour le vol, mais pour supporter les deux antennes décamétriques qui seront tendues en biais entre les dérives et le fuseau.
Pour l'instant, elles sont bien verticales.... Pourvu que ça dure.
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La peinture blanche du toit de la cellule est posée....
[h=1]La pose des servos de direction et de profondeur est effectuée directement sur les queues.[/h]
[h=1]La trappe d'accès aux batterie est taillée à l'avant. Elle ne correspond pas à la réalité mais on va faire en sorte qu'elle disparaisse dans la déco.[/h]
[h=1]La mise en peinture peut commencer.[/h]
[h=1]Et le résultat est là! On ne voit plus la trappe batteries.[/h]
[h=1]Arghh![/h]
[h=1]Au tour de la pose des aimants de fixation des deux coquilles amovibles.[/h]
[h=1]Le chantier final des ailes peut commencer. Pose des BA & BF.
Ces deux noyaux accusent une masse de 490 à nu. On verra ce que leur préparation va engendrer comme prise de poids.
Il n'y a pas de dièdre sur cet avion. Seul, l'extrados est parfaitement aligné. La sensation de léger dièdre est obtenu grâce à la diminution de l'épaisseur relative du profil qui va décroissante aux saumons.[/h][h=1]Le calage sera obtenu grâce à un niveau de maçon sur lequel 4 cales de mousses identiques seront scotchées.Les deux centrales servant de calage du procédé.
La saignée des foureaux principaux de clé d'aile est taillée.
Puis le fourreau est engagé préalablement renforcé au scotch armé fibre de verre.
L'ensemble sera alors positioné
Les emplantures seront verrouillées par 4 cales en CTP tenues par des pinces auto-serrantes.
De la résine époxy est alors injectée à la seringue pour la liaison du fourreau dans le noyau d'aile, le tout en place et calé.
Idem sur l'autre coté. Une masse de 5 kg viens affermir le calage.
Une fois la cale déposée, la forme de l'avion en croix est alors bien perceptible.
Vient le tour des clés d'aile secondaires. La saignée est taillée sur l'intrados,
et le collage s'effectue à la seringue une fois les plans calés.
Y a plus qu'à attendre le parfait séchage de l'assemblage.
L'avion peut alors être remis à l'endroit.
Un parfait coulissement des 2 clés est impératif.
Vérification des calages.... tout est OK!
Vient le tour des enfouissement de câblages servos, phare et feux de position. Les ailerons et volets sont définitivement tracés et la position des servos est relevée.
On vérifie la bonne continuité des réseaux avant de refermer les saignées.
Ce qui est chose faite après.
Les volets sont des volets d'intrados. Il va donc falloir réaliser un petit décaissé de 3 mm, épaisseur du CTP utilisé pour le volet afin que refermés, les volets fondent dans l'épaisseur de l'aile.[/h][h=1]Pour ce faire, une tranche sera taillée sur le BA de la pièce découpée...
Une fois recollée en place, cette pièce étant plus courte, elle laisse apparaître le parfait décaissé.
Ils doivent être parfaitement ajustés.
Une fois refermés, tout est lisse. Les ailerons sont taillés également.
L'installation des servos ne pose pas de problèmes particuliers.[/h][h=1]Volets rentrés,
Volets sortis position 2
Vus à l'endroit.
C'est l'heure de la mise en peinture finale....
La solidarisation des ailes se fera grâce à ces astucieuses chevilles spéciales mousse.... Une patte de liaison viendra verrouiller l'ensemble.
Ça y est, il fini....
6kg500 tout rond.
Il faudra 2 3S5200ma de 390g pièce pour parfaire le centrage, soit un peu plus de 7kg pour son 1er test en vol.
[h=1]Il est temps maintenant de passer au 1er vol.....[/h][h=1]Aujourd'hui le vent est plein travers et bien soutenu mais nous avons assez attendu ce moment. On y va.[/h][h=1]
Le décollage est franc. La puissance est au RDV et les 7 kg de cette superbe machine se font rapidement oublier.
Une petite embardée sur tribord à cause du vent et montée initiale....
Rapidement, deux sensations apparaissent.
D'abord le centrage. L'avion semble un poil centré arrière. Ceci sera corrigé aux prochains vols avec le déplacement des batteries vers l'avant. Il y a de la marge, ce ne sera pas un problème.
Mais également, l'obligation d'un pilotage 3 axes un peu comme sur un planeur. C'est très surprenant de la part d'un avion pas si allongé que cela.
L'avion est fin mais le dimensionnement des volets impose une pente de descente franche.
Même la puissance à zéro, l'avion à du mal à vouloir descendre.
Mais quel bonheur de pilotage....
L'avion est très sain et demande vraiment à être chatouillé.
Il n'y a que le bruit qui dénote.... Enfin quel bruit? on ne l'entend pas!
La vidéo du 1er vol...[/h]https://vimeo.com/638162284
[h=1]Bons vols à tous, Phil[/h]