Pour toi Yves, j'ai retrouvé mon appareil à bombes plâtre, je fais des photos, mais ma compagne m'à perdue ma clé USB de transfert, il faut que je m'en trouve une autre pour les passer sur le PC, donc de la patience.
Coté croquis en faits c'est très compliqué, tout un rapport de bras de leviers, de cliquets et d’échappements, de faits je n'aie pas trouvés du premiers coup systèmes , bras de leviers et réglages.
néanmoins j’essaierais de t'expliquer cela par écrit, bien sur une vidéo serait la bien venue, mais sans clé de transfert impossible.
Comment ça marche : Le servo utilise toute sa course, il pousse sur une tringle reliée à un levier double et réglable, en bout, qui actionne la roue à rochets à 6 dents, donc pour 5 coups, la rotation de la roue à rochets est empêchée en retour par un contre rochet.
Sur le levier intermédiaire, une bielle pousse toc rappelée par un ressort, et guidée par un arrêt de coulisse (ce levier pousse toc agit en poussant , mais est mobile latéralement coté toc.
Le toc est en faits un cran d’arrêt en rotation de la roue à barillets à 6 coups.
Ce cran d’arrêt est rappelé par ressort.
Quand on actionne le servo, celui ci pousse la tringle de manoeuvre qui fait tourner le levier de crans à rochets d'un sixième de tour, il croche alors dans la roue à rochets, et tout en continuant le mouvement du servo le barillet commence à osciller, c'est à ce moment la que la bielle pousse toc agit et débloque la rotation du barillet, car à sa périphéries se trouvent 6 encoches. Et le barillet tourne d'un sixième de tour libérant une bombinette.
Le retour du servo ré arme le dispositif.
Le toc d'arret est hyper important, c'est lui qui bloque la rotation du barillet, si non toutes les bombes tombent à la suite.
En faits au réarmement le servo doit crocher le toc d’arrêt, ce n'est que sur son accord que le barillet commence à tourner d'un sixième de tour.
Puis le levier pousse toc s'échappe du toc par glissement latéral, permettant à celui ci de revenir au repos, ce qui permet à son doigt, de crocher dans le barillet et d'arreter la rotation.
En faits on dispose de deux rochets et d'un cran d’arrêt.
Le premier rochet déclenche la rotation, le second empêche les retours, le troisième bloque le barillet.
Le système fonctionne encore très bien 30 ans après, c'est le servo qui est un peu fatigué, mais il fonctionne.
De nos jours, avec une radio programmable, il serait très facile d'ajuster sa course aux petits oignons, de faits j'ai essayé sans le servo, ça fonctionne nickel, je m'étais inspiré d'un colt à barillet pour créer cette noria, le système est tellement génial que j'aurais du le faire breveter lol, mais un brevet ça coûte des ronds, il faut être sur de pouvoir fabriquer et vendre de tels systèmes.
J'avais fabriquée la noria, à une époque ou je n'avais encore ni tour ni fraiseuse.
En faits il faut très peu de force au servo pour déclencher le système, qui s'auto équilibre grâce aux bombes chargées.
La noria se place dans le modèle, juste au dessus de la trappe, verticalement.
En faits j'obtenais 6 coups en chargeant les 6 alvéoles, la sixième étant retenue par la trappe fermée, de faits aux bombardements, ajuster sa trajectoire, et ouvrir la soute un peu avant la cible, ça servait de tir d’essais d'ajustement.
Coté croquis en faits c'est très compliqué, tout un rapport de bras de leviers, de cliquets et d’échappements, de faits je n'aie pas trouvés du premiers coup systèmes , bras de leviers et réglages.
néanmoins j’essaierais de t'expliquer cela par écrit, bien sur une vidéo serait la bien venue, mais sans clé de transfert impossible.
Comment ça marche : Le servo utilise toute sa course, il pousse sur une tringle reliée à un levier double et réglable, en bout, qui actionne la roue à rochets à 6 dents, donc pour 5 coups, la rotation de la roue à rochets est empêchée en retour par un contre rochet.
Sur le levier intermédiaire, une bielle pousse toc rappelée par un ressort, et guidée par un arrêt de coulisse (ce levier pousse toc agit en poussant , mais est mobile latéralement coté toc.
Le toc est en faits un cran d’arrêt en rotation de la roue à barillets à 6 coups.
Ce cran d’arrêt est rappelé par ressort.
Quand on actionne le servo, celui ci pousse la tringle de manoeuvre qui fait tourner le levier de crans à rochets d'un sixième de tour, il croche alors dans la roue à rochets, et tout en continuant le mouvement du servo le barillet commence à osciller, c'est à ce moment la que la bielle pousse toc agit et débloque la rotation du barillet, car à sa périphéries se trouvent 6 encoches. Et le barillet tourne d'un sixième de tour libérant une bombinette.
Le retour du servo ré arme le dispositif.
Le toc d'arret est hyper important, c'est lui qui bloque la rotation du barillet, si non toutes les bombes tombent à la suite.
En faits au réarmement le servo doit crocher le toc d’arrêt, ce n'est que sur son accord que le barillet commence à tourner d'un sixième de tour.
Puis le levier pousse toc s'échappe du toc par glissement latéral, permettant à celui ci de revenir au repos, ce qui permet à son doigt, de crocher dans le barillet et d'arreter la rotation.
En faits on dispose de deux rochets et d'un cran d’arrêt.
Le premier rochet déclenche la rotation, le second empêche les retours, le troisième bloque le barillet.
Le système fonctionne encore très bien 30 ans après, c'est le servo qui est un peu fatigué, mais il fonctionne.
De nos jours, avec une radio programmable, il serait très facile d'ajuster sa course aux petits oignons, de faits j'ai essayé sans le servo, ça fonctionne nickel, je m'étais inspiré d'un colt à barillet pour créer cette noria, le système est tellement génial que j'aurais du le faire breveter lol, mais un brevet ça coûte des ronds, il faut être sur de pouvoir fabriquer et vendre de tels systèmes.
J'avais fabriquée la noria, à une époque ou je n'avais encore ni tour ni fraiseuse.
En faits il faut très peu de force au servo pour déclencher le système, qui s'auto équilibre grâce aux bombes chargées.
La noria se place dans le modèle, juste au dessus de la trappe, verticalement.
En faits j'obtenais 6 coups en chargeant les 6 alvéoles, la sixième étant retenue par la trappe fermée, de faits aux bombardements, ajuster sa trajectoire, et ouvrir la soute un peu avant la cible, ça servait de tir d’essais d'ajustement.
