comment poser un planeur dans une pente?
- Initiateur de la discussion skysurf
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bonjour a tous
en montagne les endroits pour poser sont souvent petits et venir face au vent oblige a descendre donc a accelerer le plus simple et le moins dangereux pour la machine c'est de poser en vent AR en remontant la pente il suffit de prendre suffisamment de vitesse en descendant pour venir mourir en remontant vent de dos
c'est la solution pour poser des petits et gds planeurs quand il n'y a pas de place
testez et vous verrez le planeur ne souffre pas il se pose a l'arret
pas d'AFS le fait de remonter la pente lui calme sa vitesse
A+JP
en montagne les endroits pour poser sont souvent petits et venir face au vent oblige a descendre donc a accelerer le plus simple et le moins dangereux pour la machine c'est de poser en vent AR en remontant la pente il suffit de prendre suffisamment de vitesse en descendant pour venir mourir en remontant vent de dos
c'est la solution pour poser des petits et gds planeurs quand il n'y a pas de place
testez et vous verrez le planeur ne souffre pas il se pose a l'arret
pas d'AFS le fait de remonter la pente lui calme sa vitesse
A+JP
jp voisin;1691879 à dit:
Exact !
c'est la meilleure méthode , celle qu'on utilise en Delta. ça pose court et bien . Il faut avoir une bonne vitesse .
On prend de la vitesse face à la pente et on arrondi bien fermement !Mais si on se rate !!! c'est violent ! lorsque la pente se rapproche je vous jure que l'adrénaline monte !
Nespole
Nouveau membre
Juste arrivé sur ce forum... Après quelques années d'interruption, je lis ces messages avec un brin de nostalgie ... Mes débuts sont loin et on découvrait (et on le testait le WE suivant) le vol de pente en lisant les petits schémas dans le MRA qui racontaient... ce que les plus expérimentés disent là...
Juste je voudrais préciser un truc ou deux au sujet des atterrissages. Que toutes les approches décrites là sont bonnes et sont utilisables en fonction de la réalité de la pente utilisée, de la force du vent et de son orientation, de la maniabilité de notre modèle. Je ne connais pas LA bonne solution. Elle varie.
Alors pour choisir son atterrissage, il faut surtout l'essayer. On fait des passages qui permettent de "prendre la mesure" de la situation que l'on estime favorable.... Et quand on "sent" les paramètres favorables, "on y va". Parfois au cours d'un passage "pour voir"... On pose !
Mais surtout en toutes circonstances on prévoit le cas où il faut "dégager". Que ce soit pour un passage ou pour poser, on se laisse une marge de sécurité pour repartir.
Si on se pose en venant du bas de la pente par exemple (ce qui est la configuration qui laisse le moins de sécurité pour dégager du fait du vent arrière) on conserve une bonne vitesse (donc une bonne maniabilité) jusqu'à être certain que tout est clair... voir même on prend la pente légèrement en biais pour repartir plutôt face au vent si on est trop long ou si un piquet traverse en courant (il arrive des choses étranges lors d'un atterrissage)...
Il ne faut pas oublier aussi une méthode d'atterrissage qui prend toute sa valeur dans le sud caillouteux (oui je ne connais toujours pas les EPP et autres matériaux new looks) : l'atterrissage dans la main... qui nécessite une bonne maîtrise de la vitesse (et de l'aérologie du lieu)... Ce qui sera toujours une connaissance utile. L'exercice ne sera pas perdu.
Cette question de la marge de sécurité pour dégager est un gage de durée de vie des modèles souvent oublié... En passant aux manches d'un planeur réel on en comprend mieux les paramètres... et on ne les oublie plus sur un modèle réduit.
Cordialement
Juste je voudrais préciser un truc ou deux au sujet des atterrissages. Que toutes les approches décrites là sont bonnes et sont utilisables en fonction de la réalité de la pente utilisée, de la force du vent et de son orientation, de la maniabilité de notre modèle. Je ne connais pas LA bonne solution. Elle varie.
Alors pour choisir son atterrissage, il faut surtout l'essayer. On fait des passages qui permettent de "prendre la mesure" de la situation que l'on estime favorable.... Et quand on "sent" les paramètres favorables, "on y va". Parfois au cours d'un passage "pour voir"... On pose !
Mais surtout en toutes circonstances on prévoit le cas où il faut "dégager". Que ce soit pour un passage ou pour poser, on se laisse une marge de sécurité pour repartir.
Si on se pose en venant du bas de la pente par exemple (ce qui est la configuration qui laisse le moins de sécurité pour dégager du fait du vent arrière) on conserve une bonne vitesse (donc une bonne maniabilité) jusqu'à être certain que tout est clair... voir même on prend la pente légèrement en biais pour repartir plutôt face au vent si on est trop long ou si un piquet traverse en courant (il arrive des choses étranges lors d'un atterrissage)...
Il ne faut pas oublier aussi une méthode d'atterrissage qui prend toute sa valeur dans le sud caillouteux (oui je ne connais toujours pas les EPP et autres matériaux new looks) : l'atterrissage dans la main... qui nécessite une bonne maîtrise de la vitesse (et de l'aérologie du lieu)... Ce qui sera toujours une connaissance utile. L'exercice ne sera pas perdu.
Cette question de la marge de sécurité pour dégager est un gage de durée de vie des modèles souvent oublié... En passant aux manches d'un planeur réel on en comprend mieux les paramètres... et on ne les oublie plus sur un modèle réduit.
Cordialement