Si ce système est encore employé, je n'en ai pas vu. La qualité des aimants permanents actuels est telle que les pilotes traditionnels sont très efficaces et leur utilisation est très satisfaisante. On se procure ces aimants auprès de René Pfister (Suisse) lorsqu'on le rencontre sur les concours. Les pilotes de Victor Paireli ou Jaromir Orel sont équipés avec ces aimants.
Des Italiens utilisent un système électronique basé sur le champ magnétique terrestre et agissant sur des servos, du type de ceux utilisés en RC, qui commandent un volet de dérive classique.
Il a été également envisagé de guider les modèles par GPS.
Un autre système utilisant des gyro type hélico permettrait également de "garder le cap".
En fait, TOUS les participants de cette catégorie F1E sont très satisfaits du système de pilotage par aimant, et souhaitent que cette catégorie F1E reste à l'abri de toute évolution technologique. C'est en effet la dernière catégorie de Vol Libre qui soit restée d'une simplicité élémentaire, et où les matériaux tels que carbone, Kevlar ou autres ne donnent aucun avantage sur la construction classique balsa et papier japon.
On ne peut pas dire que les méthodes de lancer par "bunt" ou "flop" présentent une difficulté technique insurmontable, et de plus, elles ne présentent pas toujours un avantage certain: tout dépend de la masse d'air rencontrée après le lâcher, plus que de la hauteur atteinte au moment du lâcher. L'avantage "bunt" ou "flop" est certainement plus psychologique que pratique.
A+
LDC
Des Italiens utilisent un système électronique basé sur le champ magnétique terrestre et agissant sur des servos, du type de ceux utilisés en RC, qui commandent un volet de dérive classique.
Il a été également envisagé de guider les modèles par GPS.
Un autre système utilisant des gyro type hélico permettrait également de "garder le cap".
En fait, TOUS les participants de cette catégorie F1E sont très satisfaits du système de pilotage par aimant, et souhaitent que cette catégorie F1E reste à l'abri de toute évolution technologique. C'est en effet la dernière catégorie de Vol Libre qui soit restée d'une simplicité élémentaire, et où les matériaux tels que carbone, Kevlar ou autres ne donnent aucun avantage sur la construction classique balsa et papier japon.
On ne peut pas dire que les méthodes de lancer par "bunt" ou "flop" présentent une difficulté technique insurmontable, et de plus, elles ne présentent pas toujours un avantage certain: tout dépend de la masse d'air rencontrée après le lâcher, plus que de la hauteur atteinte au moment du lâcher. L'avantage "bunt" ou "flop" est certainement plus psychologique que pratique.
A+
LDC