Proxima II de Reichard

Salut Patrice,

Tu voles à l'OMAT avec ton Proxima ?
On ne s'est jamais croisés là bas ?

Edit : C'est bon, je te remets. Sorry, ça fait un bail. Passes le bonjour à Julien si tu le croises...;)
 
Salut Mika oui je vole à l'Omat mais effectivement je ne suis venu que 2/3 fois en un an faute de temps :)

J'y étais hier par contre tout seul, j'ai fait voler le proxima mais y avait pas mal de vent c'était pas le top. On devrait se croiser un peu plus souvent je suis en phase de reprise ;)
 
Salut Patou,

Cette année, j'ai migré au MACH, plus orienté planeur mais j'ai une adhésion à l'OMAT pour garder le contact avec les copains.
Comme j'habite tout près, je passe régulièrement.

A bientôt j'espère en tout cas.
Pour le planeur, tu peux aussi venir faire un tour sur le "coin des planeuristes Montpelliérains" où on se donne rendez-vous pour des séances de vols planeur et/ou remorquage.

A plouch,

Mika.
:)
 
Mise en vol hier de mon Proxima 2, avec le concours d'un copain de club planeuriste expérimenté.
Pas de pb majeur, quelques réglages à reprendre, en particulier un mixage Moteur->Prof pour manque de piqueur à la mise au max du moteur.
Ajouter un peu de débattement en dérive, et augmenter le différentiel ailerons (à 60%).
J'ai piloté une fois assez haut ... et ça change bien des modèles auxquels j'étais habitué. C'est mou ... et tout à coup ça décroche de façon assez brusque. Il va falloir que je m'habitue, mais pas de raison que je n'y arrive pas.
Je n'ai pas osé faire l'atterro, la zone atterro étant par ailleurs assez etroite et avec un peu de vent de travers.
Je retente cet aprem.
Pour les commandes radio, trop habitué à voler en avion ou en hélico, j'ai finalement remis les gaz sur le stick gaz, et mis les volets et le mode croco sur le "levier droit" en arrière de la DX9.
 
Salut,

Le décrochage, avec un planeur bien réglé, intervient souvent à cause d'une profondeur un peu trop cabrée au pilotage.
C'est beaucoup dû au fait qu'à grande distance, il est difficile d'apprécier le tangage du modèle. Et encore plus en spirale.
Chaque ordre à cabré met les ailes en incidence positive, ce qui freine le planeur jusqu'à le mettre en décrochage. Les mouvements aux manches doivent êtres minimes si tu veux éviter la traînée et rester sur ton élan de glisse...

La subtilité du pilotage planeur par rapport à un avion réside dans la maîtrise de la mécanique de vol. Il n'y a pas de moteur pour rattraper les erreurs de pilotage (sauf pour ceux qui utilisent leur planeur comme un avion) et c'est la finesse du contrôle des gouvernes qui te gardera le plus longtemps possible en l'air.

C'est en tout cas mon retour d'expérience...

Bons vols au pays du silence.
;)

Mika.
:)
 
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